A vrai dire

Lu sur le blog de Daoudal :

"L’institut britannique Policy Exchange a réalisé un sondage auprès des musulmans britanniques, qui montre sans surprise que les jeunes sont de plus en plus engagés dans l’islam.

37% déclarent qu’ils préféreraient vivre selon la charia islamique, contre 17% des plus de 55 ans. 37% disent préférer envoyer les enfants dans les écoles musulmanes publiques, contre 19% des plus de 55 ans. 74% disent préférer que les musulmanes soient voilées en public, contre 28% des plus de 55 ans. Et 7% des personnes interrogées, tous âges confondus, déclarent «admirer des organisations comme Al Qaïda qui sont prêtes à combattre l’Occident». Le taux monte à 13% chez les jeunes.

Un sondage en France donnerait sans doute des résultats comparables. A ceci près qu’il n’y a pas encore chez nous d’écoles musulmanes publiques."

La dhimmitude « c’est la condition de sujet toléré mais soumis à des contraintes diverses que le calife et tout pouvoir islamique en général fixe aux « gens du Livre », c'est-à-dire les juifs et les chrétiens (et les zoroastriens en Iran). » (dans L’Islam sans complaisance, Mythes et réalités, Bernard Antony, ed. Godefroy de Bouillon)

Pourquoi « de l’une à l’autre » ? On voit clairement s’installer une soumission consentie des autorités occidentales aux préceptes islamiques. Tous les jours nous le constatons : en France : mosquées subventionnées par l’Etat au mépris de la loi constitutionnelle sur la laïcité, le mépris de la loi Grammont sur l’abattage des animaux pour tolérer l’abattage hallal, l’interdiction de distribuer de la soupe au lard. En Allemagne on annule une représentation d’opéra qui pourrait offenser les musulmans. Au Canada, l’insertion dans le code civil d’une exception pour les musulmans, à qui ont doit s’appliquer en certains cas, notamment concernant le mariage, la loi islamique. Aux Etats-Unis, un élu prêt serment sur le Coran et non sur la Bible. Et même en Chine, où le gouvernement vient d’interdire toute image d’un cochon pour ne pas offenser la minorité de musulmans sur son sol, alors qu’en Chine cette année est justement l’année du cochon.

La facilité avec laquelle toutes ces autorités se soumettent aux diktats islamiques, parfois avant même que les musulmans l’aient exigé, me paraît venir au moins en partie de l’habitude acquise depuis longtemps de se soumettre à une dictature de la pensée.

D’abord, on a avalé et intégré la notion que ceux qui étaient contre le communisme étaient automatiquement des nazis. La propagande soviétique a bien fonctionné, appuyé sur le terrorisme intellectuelle et physique.(cf l’histoire du Front National.) Et les nazis, bien évidemment, étaient ce qu’il y a eu de pire dans toute l’histoire de l’humanité. Des monstres de haine et de cruauté qui obéissaient à un chef totalitaire dément et infernal. Se dresser contre le communisme équivalait à se proclamer en faveur de ces monstres, selon cette intoxication soviétique qui a si bien marché. Tout « l’Establishment » s’y est plié, et cela continue.

Puis vint le Politiquement Correct et les lois françaises (Gayssot, Perben, HALDE) qui interdisent des opinions et verrouillent l’intelligence et l’esprit critique français pourtant renommées dans le passé.

Les français étaient déjà en dhimmitude sous le totalitarisme pas si mou que ça de la pensée de gauche, quand la dhimmitude islamique est arrivée. Les castes gouvernantes ont depuis des décennies l’habitude de s’auto-censurer et de se soumettre aux diktats de la gauche.

Comment voulez-vous que face à l’Islam ils aient une attitude virile d’homme libre qui pense pour lui-même ? Ils ne savent même plus ce que c’est.

"Ségolène, après la tempête, nous a ramené le ciel bleu. Je le vois à travers les nuages."
Martine Aubry, apportant son soutien à la candidate socialiste, le 19 janvier.
(Challenges, 25 -01-07)

Si la force injuste de la loi s'acharne contre les français qui distribuent la soupe au cochon, il faut noter, comme le fait Natonal Hebdo, que "le sieur Delanoë a encouragé par sa présence, très médiatisée, la "chorba", distribution de soupe "hallal" (rite musulman) aux miséreux. Outre que la laicité des autorités tourne à la farce, il convient de rappeler que les viandes constitutives de cette soupe proviennent d'animaux abattus selon des pratiques cruelles, interdites en principe dans notre pays d'après la loi Grammont, mais tolérées. Les amis du respect des animaux, nombreux parmi les SDF, comme dans le reste de la population, sont ainsi discriminés, s'ils veulent rester fidèles à leur conviction. Là, les pouvoirs publics sont curieusement aveugles."

Vu dans National Hebdo N° 1175
Ward Connerly, brillant universitire Noir américain de Los Angeles, à l'origine de (...) la loi californienne (qui) interdit depuis 1996, aux universités publiques, tout traitement préférentiel, basé sur la race, le sexe, la couleur, lappartenance ethnique ou la nation d'origine, pour les admissions.
W.Connerly : "Le critère d'admission dans une université, c'est le résultat scolaire et non pas les désavantages que vous avez connus dans la vie. (...) L'appartenance raciale ne peut pas servir de justification. Selon la Cour suprême, la fonction d'un collège ne consiste pas à 'remédier aux maux de la société'. La seule solution, c'est d'amélorier les résultats scolaires des Noirs."

Le Député Christian Vanneste persiste et signe. Il déclare : « Il est vrai qu’un type de comportement qui ne permet pas d’engendrer la vie est un comportement nocif pour l’humanité. », et il ajoute que « l’éducation des enfants passe par un père et une mère, sinon c’est imposer aux enfants une situation anthropologiquement anormale. »

Oui, ce type de comportement est nocif pour l’humanité en général. Mais lorsqu’on se penche sur les effets sur les homosexuels masculins de leurs pratiques sexuelles, on voit que ce type de comportement est extrêmement nocif aussi pour les individus.

Vu dans le blog de Jeanne Smits, des extraits d’un article de Kathleen Melonakos, infirmière agréée aux Etats-Unis, publié par LifeSite, sur l’activité homosexuelle masculine.

« Une longue expérience auprès de malades de la communauté « gay » l’a poussée à vouloir mettre en évidence les risques mortels associés aux pratiques homosexuelles, la sodomie et la multiplication de partenaires en particulier, et à dénoncer le silence coupable qui les entoure au détriment de la santé et, souvent, de la vie des hommes qui s’y adonnent. »

Extraits (Kathleen M.) :

Pour autant que je sache, il n’y a pas d’autre groupe de personnes aux Etats-Unis qui meurent de maladies infectieuses vers l’âge de 45 ans si ce n’est les homosexuels pratiquants.

Le risque de cancer anal explose parmi ceux qui pratiquent la sodomie. Une étude évalue l’augmentation du risque à 400%, chiffre effarant qui double encore en cas de séropositivité HIV. »

Elle détaille alors les maladies sexuellement transmissibles, les infections intestinales, les hépatites, différentes allergies, lésions, oedèmes et autres atteintes à la zone génitale qui s’ajoutent au sida auquel les hommes homosexuels sont particulièrement exposés. K.Melonakos cite le livre du Dr Jeffrey Satinover, L’homosexualité et la politique de la vérité, et un entretien de celui-ci qui affirme : « Un récent article dans une revue de psychiatrie révèle que 30% des jeunes hommes homosexuels de 20 ans seront séropositifs ou morts à l’âge de 30 ans. »

« Peut-on encore prétendre que cette morbidité et cette mortalité accrues ne résulte pas des relations sexuelles entre hommes – sans même parler d’un taux plus élevé d’alcoolisme, d’usage de stupéfiants, de dépression, de suicide et d’autres maladies qui accompagnent si souvent le style de vie homosexuel ? Et que les personnes qui présentent tout cet éventail de comportements sont d’une certaine façon « normaux » ? »

Oui, encore une fois, le politiquemnt correct tue.

Alors que les commentateurs dans les journaux écrits et télévisés vantent le nombre de naissances en France, (2 enfants par femme selon l’INSEE) il serait bon d’y regarder d’un peu plus près. Comme le note Rémi Fontaine, dans Présent :

1. « Depuis un certain temps déjà, Philippe Bourcier de Carbon, chercheur à l’INED, a montré que cet accroissement s’expliquait par l’augmentation des ménages immigrés provenant d’Afrique et de Turquie avec plus de 15% de naissances en métropole »
2. La définition démographique de la France a changé en 2002 : on définit maintenant la France comme comprenant la métropole plus quatre départements outre-mer. Si l’on restait à l’ancien comptage, cela donnerait 1,97 enfant par femme en 2006.
3. Ce « bon » chiffre français ne s’explique pas par une bonne politique familiale mais par un effort de politique de conciliation entre vie professionnelle et vie familiale car de plus en plus de femmes doivent travailler. Ce qui fait que « 100% des enfants sont scolarisés à l’âge de trois ans, c’est un record mondial, et 35% des enfants sont scolarisés à l’âge de deux ans, un record mondial également »
4. La tendance à avoir des enfants toujours plus tard se poursuit.
5. Le solde naturel dont on est très fier actuellement va fondre dans les années qui viennent (…) compte tenu d’une augmentation prévisible des décès et d’une baisse du nombre des naissances, due à la baisse du nombre de femmes en âge de procréer. Logique fatale de notre pyramide des âges.

Par ailleurs, Mark Steyn, essayiste néo-conservateur à qui nous laissons la responsabilité de ce qu’il avance, commente lui aussi les derniers chiffres de la fécondité française « Prenez la France et ses voisins, et classez-les dans l’ordre de taux de fécondité décroissant (statistiques officielles Eurostat 2005) :

1 ) France 2) Pays Bas 3) Belgique 4) Suisse 5) Autriche 6) Allemagne 7) Italie 8) Espagne

Maintenant, classez-les dans l’ordre décroissant de leur proportion de population musulmane (pas de source centrale, mais compilation à partir de statistiques nationales et de chiffres de groupes musulmans, de l’ONU et du Département d’Etat) :

1) France 2) Pays-Bas 3) Belgique 4) Suisse 5) Autriche 6) Allemagne 7) Italie 8) Espagne »

Nous savons tous maintenant que Bruno Gollnisch, poursuivi sur l'ordre expresse du Ministre de la justice (sic) de l'époque, vient d'être condamné à une peine de 3 mois de prison avec sursis et à 5000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Lyon, pour des propos qu’il aurait tenu devant la presse. Mais le tribunal a également exigé que le jugement soit publié dans les médias des journalistes présents lors de la conférence de presse d'octobre 2004, et il aussi qu'il verse un montant total de 55000€ de dommages et intérêts aux différentes parties civiles, dont notamment le MRAP, la Licra et l'Union des étudiants juifs de France.

jeudi 18 janvier 2007
Défaite de la liberté d'expression

Communiqué de Bruno GOLLNISCH

La condamnation qui vient de me frapper pour avoir estimé qu'un débat historique, ouvert par des questions de journalistes, relevait du travail des historiens, souligne une grave dérive de la police de la pensée.

De fait, la loi du Communiste Gayssot, censée protéger la mémoire, n'aboutit qu'à interdire toute discussion sur l'histoire. De la même façon que la loi Pleven aboutit à interdire tout débat sur la politique d'immigration et la loi Perben toute prise de position en faveur de la famille traditionnelle.

Ce scandale va au-delà de mon cas personnel dans un pays autrefois le plus avancé au monde dans le domaine de la Liberté d'expression.

Il atteint aussi la liberté et la déontologie des journalistes qui, requis de déposer contre celui à qui ils ont posé des questions, doivent se comporter, bon gré mal gré, en supplétifs de la police de la pensée, et non plus en serviteurs de l'information.

L'incroyable jugement répressif prononcé par le Tribunal correctionnel de Lyon, et notamment par son président le juge Schir se disant investi d'une mission, a été rendu, sur réquisition d'un Ministère public qui a publiquement reconnu agir aux ordres d'un de mes adversaires politiques, Dominique Perben, alors Ministre de la Justice. Ce dernier, donnant l'ordre de me poursuivre malgré l'avis contraire de la Police et du Parquet, a perdu à cette occasion toute chance de conquérir la Mairie de Lyon puisqu'il peut être certain de me trouver sur sa route pour l'en empêcher.

Rien n'est plus insupportable que l'injustice de la justice. Je fais naturellement appel de ce jugement.

Que mes adversaires soient certains que cette persécution n'aura aucune incidence sur mes activités politiques, bien au contraire. Elle décuple ma volonté de mettre à bas un système poltique oppressif et corrompu.

Tout le monde le sait. Après maintes descentes de la police pour interdire la distribution aux SDF de la soupe au cochon à Paris, la persévérance de l’association Solidarité des Français a finie par payer. Le Tribunal administrative a décrété qu’il n’y avait aucun trouble à l’ordre public et que la distribution pouvait donc continuer.

Sur intervention personnelle du ministre, le Conseil d’Etat (ou comme, paraît-il, disent les étudiants de Sciences Po Paris, le Conseil des Tatas ) a trouvé que la distribution de la soupe au cochon constituait une discrimination grave et l’a interdite.

Choquant, mais pas vraiment surprenant car nos « gouvernants » nous ont habitués aux injustices de plus en plus flagrantes.

Plus intéressant par contre est la position de Guillaume Peltier, le n° 2 du MPF (de Villiers), qui a jugé ces distributions une « provocation inacceptable ». Le MPF dont un des slogans dit : « Ce n’est pas à la France de s’adapter à l’Islam mais l’Islam de s’adapter à la France » nous montre à quel point ils sont courageux mais pas téméraires.

Sur le site du MPF, Guillaume Peltier a confirmé sa position.

Comme par hasard, le MPF parle comme l’UMP.

D’abord une pièce turque quasiment identique à la pièce de deux euros, et qui circule de plus en plus en Europe. Aucune mise en garde de la part des autorités françaises.

Nous apprenons (Reconquête n° 233, 70 Bd Saint-Germain, 75005 Paris) maintenant l’existence d’un timbre turque, en circulation depuis des mois, qui montre le croissant islamique enserrant l’Europe occidentale, avec l’étoile islamique posée sur la France et insérée dans le cercle des étoiles du drapeau européen. Silence radio dans les média.

Quant aux déclarations de Benoît XVI en Turquie, il faut savoir que c’est le Premier ministre turc Erdogan qui a dit que le pape s’était déclaré favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Europe. La seule déclaration du pape concernant l’Europe demande aux chrétiens de « renouveler la conscience de l’Europe dans ses racines, ses traditions et ses valeurs chrétiennes, et leur redonner une nouvelle vitalité. »

Est-il possible qu’une femme candidate à la présidence de la France, et supposée posséder un minimum d’intelligence et d’instruction, puisse être inconsciente à ce point ?

Passe encore son dérapage sur la « bravitude » - même si celui là est assez malheureux – et sa façon maladroite de s’embourber dans ses explications : « La Grande muraille m’a inspirée, c’est de la poésie, de la philosophie ». Prouvant ainsi qu’elle ne connaît pas grand-chose ni à la poésie ni à la philosophie. Bref, passons.

Mais, se faire inviter non pas par l’Etat chinois mais par le parti communiste chinois ! Et elle a suivi, souriante et ravie, l’itinéraire préparé par le PCC de façon à en tirer un maximum de propagande favorable pour la Chine communiste. Ségolène ne sait-elle pas que le parti communiste chinois, parti unique, continue toujours sa répression féroce, maintient toujours le goulag chinois (Laogai), et reste un des pays les plus durs pour ses populations ?

Puis, l’économie chinoise est en position prépondérante sur le marché mondial, tandis que l’Europe perd des emplois par millions. Une candidate à la présidence de la France ne devrait-elle pas savoir que la guerre économique existe et que notre économie se trouve confrontée à une compétition féroce face à la Chine ? Apparamment pas. Absence total du moindre avantage pour la France dans l’ opération Ségo en Chine.

Il semblerait que l’intention de Ségolène Royal était de se montrer en tant que figure internationale. C’est fait. On a pu voir qu’elle ne connaît pas mieux ses dossiers internationaux que ceux de sa région.

Nous apprenons que les professeurs sont de plus en plus victimes d’agressions verbales et physiques, et que les blogs des élèves fourmillent d’insultes envers leurs enseignants. Elèves qui, souvent, refusent d’obéir aux professeurs.

Les instituteurs, eux, refusent d’appliquer les directives du Ministre sur les méthodes d’apprentissage de lecture.

Les salariés de la SNCF refusent toute autre forme de « dialogue » que la grève.

Le Président de la République, ses ministres et toute la nomenklatura au pouvoir refusent de tenir compte du référendum sur la constitution européenne, tout comme ils refusent de se considérer comme soumis aux lois notamment sur la corruption.

Crise de l’autorité ? Ou plutôt évolution normale de la « démocratie » ?

Qu’a-t-on martelé depuis des générations aux occidentaux, sinon que la démocratie est le règne de la liberté individuelle ? Que le peuple est souverain, que l’individu ne fait que passer un « contrat » par lequel le « vivre ensemble » est acquis par un accord (« ne fait pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse ») qui sert en fait à neutraliser plus ou moins les excès. Comme écrit Benjamin Constant (chap. 1, Principes de Politique), le bien commun n’est que « l’addition des intérêts particuliers mis réciproquement hors d’état de se nuire ».

Quand on a insisté – au détriment des savoirs fondamentaux – sur les Droits de l’Homme, enseignant à des générations qu’elles avaient, dès le berceau, le droit d’être librement tout ce qu’elles voudraient, et que la seule vertu est la tolérance, peut-on s’étonner vraiment que la société soit devenue ….une maison de tolérance ?

Or, le propre d’une telle maison, c’est de ne condamner aucun vice.

Par contre, on condamne la vertu. Voyez comment les institutions traitent ceux qui défendent la famille, la patrie, ceux qui pensent qu’il faut travailler pour gagner son pain, que les hommes politiques doivent être honnêtes, qu’il y a une loi qui transcende la loi civile, que la vie est sacrée et inviolable dès la conception jusqu’à la mort naturelle, et que les criminels doivent être punis.

Pourquoi cela ? Mais parce que la vertu exige l’effort, exige l’idée qu’on n’est pas parfait mais que l’on peut devenir meilleur en y travaillant, et cela contredit l’idéologie régnante.

Et maintenant ce sont les SDF qui font la une. L'UMP, le PS et tutti quanti courent se faire photographier avec ces pauvres gens, puis se hâtent de concocter une loi pour faire face à la situation catastrophique des sans logis en France.
Je vois sur le blog de Patrice de Plunkett que la principale organisation caritative lyonnaise critique fortement la façon précipitée et improvisée de l'action quichottesque. Sébastien Guth, chargé de la communication à Notre Dame des Sans Abri, parle d'un "coup médiatique sans rien derrière, qui n'aborde pas la question de l'accompagnement social". Il se dit "choqué" par cette façon d'aborder les choses "en surface sans traiter le problème de fond" et prédit que "ça va être une catastrophe" quant à l'idée de passer l'hiver sous une tente.
Encore une fois le gouvernement "gouverne" au coup par coup, toujours dans le compassionnel, sans réflexion et sans s'attaquer aux causes des maux qui affligent la société francaise. Pourtant, le moins doué en arithmétique voit bien qu'il n'est tout simplement pas possible de loger tous les Français, plus les régularisés et les clandestins qui arrivent par centaines de milliers par an.
Tant que la question de l'immigration ne sera pas rélgée, il y aura une crise du logement en France.

Je vous présente mes voeux pour que 2007 soit pour vous et les vôtres une bonne année, de celles dont on se souvient avec plaisir.
Que Dieu vous garde et vous bénisse.

"Que je parle ou me taise, que je veille, que je marche ou me repose, gardez moi dans l'accomplissement de toutes mes oeuvres, dans tous les actes de ma vie." (prière à Saint Michel Archange d'après un manuscrit du XVè siècle)