vendredi, février 29, 2008

 

vêtements bon marché

Oui, il y a un risque potentiel à porter des vêtements bon marché en provenance de certains pays asiatiques.
Il faut savoir que jusqu'en 1856 on utilisait des colorants naturels, végétaux ou animaux, mais de 1856 à 1950 les vêtements étaient imprégnés de colorants azoïques à base de bensidine et dérivés. Mais dans les années 50 on s'est rendu compte que la benzidine était hautement toxique (risque de cancer de la vessie), et il a fallu attendre 2002 pour que soit passé une loi limitant le seuil de colorant "à risque" à 30 ppm (parties par million) pour les vêtements textiles ou en cuir. Toutefois, en 2008 les colorants interdits chez nous sont désormais utilisés par les pays en voie de développement (Chine, Inde, Corée, Taïwan, Brésil, Mexique...) et leurs vêtements trop bon marché peuvent dépasser facilement le seuil des 30 ppm.
Le risque? Par exemple, vous portez un article de mauvaise qualité, dont le colorant est mal fixé. La transpiration de la peau réagit avec le colorant, nos enzymes cutanées le dégradent et l'assimilent. Les amines ainsi produites se concentrent dans la vessie, et y augmentent le risque de cancer.
Scénario catastrophe? Peut être, mais des tests récents menés sur 198 vêtements ont montré que 7% d'entre eux (14) n'étaient pas conformes. En 2004 une autre étude montrait que 20% des articles n'étaient pas conformes, y compris des vêtements ou peluches pour bébé.
Aujourd'hui, 2 vêtements sur 3 peuvent contenir des produits "douteux".
Le problème, c'est qu'on trouve de moins en moins de magasins qui vendent des vêtements produits en France ou en Europe. Les grandes surfaces et la très grande majorité de groupes de vente sur catalogue importent tout textile de ces pays et surtout de la Chine.

mardi, février 26, 2008

 

toujours carême - toujours poussière

Comme chaque année, quand arrive le Mercredi des Cendres, le prêtre nous met des cendres en forme de croix sur le front, nous rappelant: "Homme, souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras en poussière".
C'est l'énoncé d'une vérité scientifique. Dans l'univers, si l'on éliminait l'espace entre les composants des atomes, si on réduisait tout à l'incompressible masse solide, on verrait que chacun de nous ne "pèse" peut être même pas quelques grains de poussière.
Que ces bouts de poussière "gonflés" que nous sommes soient capables d'aimer, et même d'aimer d'un amour gratuit parfois, est pour moi une merveille qui me ravit.
Et, vérité incroyable, l'Homme-Dieu, Jésus le Christ, a souffert et est mort sur la croix pour que ces bouts de poussière puissent avoir le choix de partager sa nature divine et jouir de la béatitude éternelle.
Toute poussière qu'on est, on a le choix.

 

la langue occitane

Lors de l'Assemblée plénière de janvier 2008 à Bordeaux, Madame Baudereau, Conseiller FN, est intervenue aussi sur la politique publique en faveur de la langue occitane. Voici son intervention, bien intéressante pour nous tous qui vivons dans le sud de la France.

"Le projet de soutien aux langues régionales présenté par
le Conseil Régional nous paraît critiquable dans ses énoncés. En
effet, en utilisant le terme de « Langue Occitane », le Conseil
utilise une dénomination contestable et contestée, par la majorité
des locuteurs des divers dialectes Romans parlés dans le sud de la
France.

Cela est si vrai, et si bien admis, que lors des premières
assises des langues de France qui se tinrent à Paris le 4 octobre
2003, nul document officiel ne retint ni le terme d' Occitanie ni
celui de langue Occitane. Si ces mots furent prononcés, les
responsables officiels s'en tinrent aux appellations des anciennes
Provinces, et nommèrent les dialectes : Provençal, Auvergnat,
Languedocien, Limousin et Gascon. Les débats houleux qui
opposèrent localistes et occitanistes, obligèrent les organisateurs à
constater qu'il existait un problème non résolu entre ces diverses
tendances.

Le problème est toujours pendant : il se traduit par la
volonté des Occitanistes d'imposer une unique façon d'écrire, basé
sur le Languedocien médiéval, à toutes les Provinces du Sud,
contre l'usage qui s'est répandu depuis trois siècles d'adopter une
façon d'écrire tenant compte des prononciations modernes. C'est
sur ces bases que l'Espagne et l'Italie ont mené à bien la réforme
de leur langue. Notons que dès l'apparition de l'Occitanisme, les
Catalans refusèrent unanimement d'adopter la fabrication
Occitane.
C'est ainsi que dans le numéro de décembre 2007, le
très officiel bulletin de « Langues et Cités », bien qu'admettant
l'Occitan comme terme générique, écrit : « Tout en étant proche, le
Gascon constitue, du point de vue de sa genèse un ensemble
distinct de l'Occitan proprement dit ! » Vous allez donc employer
un terme qui ne correspond pas à votre identité, et que déclarent
impropre les meilleurs linguistes gascons, de Pierre Beck à Jean
Lafitte.

Disons très brièvement que le terme même générique
d'Occitan, n'a pas de racines sûres. On le fait souvent dériver de OC, que l'on
donnerait comme le pendant du « oui » français. Mais en fait,
nulle part dans nos pays, de Nice à Bordeaux, on ne dit Oc, mais
seulement O ! le OC dérive du latin « HOC », qui signifie tout
simplement « ICI », et la langue d' Oc, signifiant la langue d' ICI,
pourrait s'appliquer à tous les dialectes du monde !

Tous nos grands maîtres littéraires gascons, dont
Camélat pour la Bigorre, Palay pour le Béarn, Pic pour le Gers, ou
Manciet pour les Landes etc etc , se sont refusés parfois
durement à l'occitanisme, et c'est une forfaiture que de traduire
aujourd'hui leurs œuvres gasconnes, dans une graphie qu'ils
avaient désavouée !

Mais un évènement plus proche devrait mieux vous
éclairer. Il s'est passé le 17 mars de l'année dernière.
Simultanément, deux manifestations eurent lieu, l'une organisée
par les Occitans à Béziers, et l'autre en Arles, , organisée par le
collectif Provence, avec des délégations des diverses Provinces.
La manifestation de Béziers se termina par l'affrontement des
clans rivaux, anarchistes, séparatistes, identitaires et autres, au
point qu'il fallut faire appel au SAMU pour évacuer les blessés .
(on peut consulter internet à ce sujet).

La manifestation très conviviale d'Arles, où la
délégation gasconne fût acclamée par les Provençaux, fût illustrée
par le très remarquable discours de monsieur Vauzelles, qui prit
nettement parti pour les spécificités régionales. Ainsi se vérifient
les propos d'André Labarrère qui, quelques mois avant sa mort,
avait en public, et devant le Préfet des Pyrénées Atlantiques,
refusé toute référence occitane. Et il avait dit que dans ce débat, la
ligne de démarcation ne passait pas entre les partis, mais à
l'intérieur des partis. Nous le vérifions aujourd'hui, puisque, sous
la même étiquette politique, les Conseils Régionaux de Provence
et d'Aquitaine sont en désaccord.

Cela mériterait au moins une enquête, semblable à celle
qui fût diligentée par le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques,
à l'initiative de son Président de l'époque : François Bayrou. Le
résultat fût clair, à une majorité de 5 contre 1, les citoyens
répudièrent le terme « Occitan » pour s'en tenir au Béarnais et au
Gascon. François Bayrou n'en tint aucun compte......................
mais ceci est une autre histoire !

Depuis, un gouvernement provisoire d'Occitanie s'est
installé à Toulouse. Il est l'héritier d'un parti nationaliste Occitan,
qui n'hésitait pas à écrire sur les murs : « Les Français dehors ! »

Je vous souhaite, Monsieur le Président, et chers
collègues de discerner ce qui se cache derrière un mot qui se
voudrait innocent, si du moins vous croyez que la République doit
toujours être une et indivisible.

mercredi, février 20, 2008

 

l'occitan vu par le FN en Midi Pyrénées

Lors de la dernière Assemblée plénière du Conseil régional Midi Pyrénées, nous avons dû nous prononcer sur un rapport sur la promotion de l'occitan, programme fortement subventionné tout au long de l'année. Voici mon intervention, préalablement approuvé, bien sûr, par Louis Aliot.

M. le Président, chers collègues,

Nous sommes au regret de voter contre ce rapport.
Certes, la culture et l’identité régionales doivent être encouragées et promues, car il est vrai, comme dit l’UNESCO, que leur défense est « un impératif éthique inséparable du respect de la dignité de la personne humaine. »
Il est intéressant de noter que l’UNESCO applique ici à la région l’enseignement aux nations de Jean Paul II, donné dans son discours à l’UNESCO à Paris en Juin 1980. Je cite :
« Veillez par tous les moyens à votre disposition, sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque nation en vertu de sa propre culture. Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l’avenir de la famille humaine. Protégez-la ! Ne permettez pas que cette souveraineté fondamentale devienne la proie de quelque intérêt politique ou économique. »
C’est d’ailleurs tout le sens du combat du Front National que de tout faire pour promouvoir et de défendre notre identité, non seulement à l’échelle régionale mais surtout à l’échelle nationale.
Or actuellement, la promotion par l’Union Européenne des identités régionales, instrumentalisée au profit d’une dialectique qui voudrait opposer les régions à l’Etat Nation, est foncièrement incohérente.
A moyen terme cette politique européenne vise à instaurer un agglomérat d’euro-régions après avoir dissout les Etats Nations. Or nous sommes persuadés que seul l’Etat Nation peut garantir l’épanouissement des identités régionales.
C’est dans cette optique que nous aimerions voir une promotion de la langue et de la culture françaises au moins égale à celle qui est faite pour l’occitan, car il est d’évidence que la transmission de la culture nationale ne se fait plus à grande échelle.
Au moment où, de l’avis général, l’éducation nationale n’arrive plus à enseigner les savoirs de base, où nous constatons l’inculture et la méconnaissance de la langue française généralisées et même jusqu’au plus hautes sphères politiques, il devient urgent de donner la priorité au français. Avec l’invasion de l’anglais, consacré par le Protocole de Londres, ceux qui sont en passe de se faire déposséder de leur patrimoine sont les français. (M. Rémy Pèch dans sa présentation avait dit que les populations de nos régions avaient été dépossédées de leur patrimoine culturel)
En conclusion, nous serons heureux de voter pour ce genre de programme quand sera rétabli la cohérence entre la promotion de l’identité régionale et celle de l’identité nationale.
û

lundi, février 18, 2008

 

Emoi....

Emoi dans les milieux qui s’intéressent à l’avortement : la Cour de cassation a rendu trois arrêts le 6 février, concernant la situation de trois familles dont les enfants sont mort-nés et à qui on avait refusé l’inscription à l’état civil de leur enfant car une circulaire de 2001 exigeait que l’enfant pèse au moins 500 grammes ou soit mort après 22 semaines d’aménorrhée. Or, dans les trois cas, les fœtus pesaient entre 155 et 400 grammes.
La Cour de cassation a décidé que ladite circulaire n’ayant pas d’autorité juridique, il fallait s’en tenir aux termes de la loi, (article 79-1 du code civil) qui « ne subordonne l’établissement d’un acte d’enfant sans vie ni au poids du fœtus, ni à la durée de la grossesse ».
Du coup, ceux qui défendent la vie dès la conception jusqu’à la mort naturelle ont vu un commencement de reconnaissance de personnalité juridique de l’enfant à naître, tandis que le planning familial se préoccupait d’une « brèche ouverte » qui pourrait mettre en cause le « droit à l’avortement ».
C’est sûr que du moment où l’administration délivre une inscription à l’état civil pour un enfant mort-né, il admet que ce n’était pas un simple amas de cellules, mais un enfant qui appartenait à une famille. Comment concilier cela avec l’idéologie pro-avortement, qui ne veut voir dans ce fœtus qu’un amas de cellules ?
Bertrand Mathieu (Université Paris I) dit que la jurisprudence du Conseil constitutionnel donne la réponse : « Tout en protégeant la vie dès sa conception, elle permet le recours à l’avortement, observe le constitutionnaliste. En effet, cette protection n’est pas absolue : elle doit être conciliée avec un autre principe, la liberté personnelle de la mère, à qui on ne peut imposer une contrainte qu’elle serait hors d’état de supporter. »
C’est y pas beau, ça ? La loi tout en proclamant qu’elle protège la vie, estime qu’il faut quand même concilier votre droit à la vie avec la liberté qu’aurait quelqu’un de vous supprimer si le fait que vous soyez en vie lui impose une contrainte qu’il estime insupportable.
Seulement là comme en d’autres domaines, tous les citoyens ne sont pas égaux. Déjà, la HALDE devrait se pencher sur la discrimination contre les hommes de la loi sur l’avortement, car ils n’ont pas le droit, eux, de supprimer impunément et en se faisant rembourser par la Sécu, quelqu’un qui leur « impose une contrainte qu’ils seraient hors d’état de supporter ». Ils n’ont pas le droit de supprimer le gêneur, mais ils n’ont pas non plus le droit de s’opposer à l’avortement de leur enfant, du moment où la femme l’a décidé.
Qu’est ce que ce serait si la Constitution n’était pas là, qui « protège la vie dès sa conception »

samedi, février 16, 2008

 

Chère police de la pensée

En retrouvant des journaux datant d'il y a un an, je retrouve ceci dans Le Cri du Contribuable de janvier 2007 :
Déjà à l'époque, la HALDE passait de 50 à 73 postes, soit près de 50% d'augmentation, justifiée par de "prévisions du développement de son activité" selon la député UMP de la Sarthe. Les fonctionnaires qui veillent à ce que nous pensions comme il faut disposaient déjà chacun d'un bureau de plus de 26m2 quand la norme en la matière est de 10 à 15n2.
Mais rassurez vous. La HALDE s'est aussi dotée d'un objectif et d'un indicateur de performance, visant à mesurer l'efficacité de la prise en charge des réclamations : celui-ci a été fixé à 90 dossiers par agent et par an.Sachant que le délai moyen de traitement d'un réclamation est de trois mois en moyenne et de huit à neuf mois au plus, il s'avère qu'il faut au moins une semaine de travail pour traiter un dossier.
C'est qu'il faut bien une semaine au moins pour couper les cheveux en quatre et dénicher les déviations qui pourraient se trouver derrière les moindres actions et/ou déclarations de ces Français incorrigibles.

dimanche, février 10, 2008

 

plus ça va

Plus ça va et plus c'est la même chose.
Au niveau gouvernemental, ce sont toujours trahison, mensonge, mépris total pour le bien de la France et des Français.
Nous voyons tous que, dans quelque domaine que ce soit, la même mentalité prévaut. Une mentalité collectiviste selon laquelle l'homme n'est pas une qualité, une personne unique et précieuse, mais seulement une quantité, une unité qu'on nomme au mieux "citoyen" mais en tout cas "consommateur".
Et si l'on peut trahir le citoyen qui a voté NON au référendum, on a tous les égards pour le consommateur. Prenez comme exemple l'amendement de la sénatrice UMP des Hauts de Seine Isabelle Débré qui fait en sorte que les magasins de meubles puissent ouvrir le dimanche sans que les employés aient leur mot à dire, et sans que les employés gagnent davantage. Tout cela pour que les consommateurs puissent mieux consommer.
Car, vous le savez, nous n'existons que pour faire marcher l'économie. Nous n'avons pas besoin d'avoir un jardin secret, ni d'avoir le temps de vivre un moment de repos en silence, et surtout pas besoin de contempler quelqu'Un ou quelque chose qui nous dépasse par sa beauté, par sa puissance, par sa capacité à nous faire aimer et réfléchir. Surtout pas!!
Mais comme tout cela fait partie de la nature humaine, il faut tout faire pour chasser la loi naturelle de notre société. Il est naturel de vouloir s'engager pour la vie dans un amour conjugal? Rendons la chose aussi difficile que possible. Naturel de vouloir des enfants? Mettons en avant l'avortement comme un droit, et l'enfant comme un gêneur. Naturel de détester la trahison et d'en souffrir? Présentons la comme une liberté. Naturel de détester l'injustice? Mais voyons, ce sont les Droits de l'Homme qui vous interdisent d'avoir une opinion personnelle.
Et pourtant, pourtant.... Je vois en France nombre de vraies personnes qui exercent une vraie liberté d'esprit; qui arrivent encore à vivre humainement dans cette société qui devient de plus en plus inhumaine. On ne nous aura pas!

lundi, février 04, 2008

 

neige en Chine


En voyant ce qui se passe en Chine ces temps-ci, avec ces tempêtes de neige si extraordinaires, on ne peut pas ne pas penser au projet HAARP Américain, et aux programmes similaires Russes et Européens.
Le projet HAARP est tout simplement un des outils de la guerre climatologique développes par les pays avancés depuis bientôt vingt ans. HAARP, en Alaska, consiste grosso modo en de champs magnétiques immenses et autres technologies, qui peuvent non seulement agir sur le climat mais qui pourraient aussi, à une puissance supérieure, agir sur le comportement humain (ceci a été déclaré par un officiel Américain il y a quelques années).
Etant donné que la Chine est vue par les USA comme une menace de plus en plus importante, est-ce vraiment trop farfelu de penser que les tempêtes en Chine sont dues uniquement aux aléas naturels du climat?

vendredi, février 01, 2008

 

Apprentis sorciers

Rapporté dans National Hebdo (YD)
"une femme stérile qui était devenue enceinte par procréation assistée (a) voulu avorter. Devant l'équipe médicale atterrée, elle a dit: "En vertu de quoi serais-je la seule femme enceinte de ce pays qui n'ait pas droit à l'avortement?" Elle a donc avorté. Deux ans plus tard, elle a redemandé une FIV, qui lui a été accordée. Et cette fois elle a mené à son terme son "désir d'enfant". Une pédopsychiatre explique que cette femme avait raison en terme de droit : elle avait droit à l'enfant, elle avait droit à n'en plus vouloir, elle avait droit à en re-vouloir."
Il y a quelques jours, on apprenait qu'un Camerounais d'une cinquaintaine d'années, en France pour être traité pour son SIDA, avec femme et six ou sept enfants au pays, s'est mis en concubinage avec une femme clandestine qui a des problèmes de stérilité. Ce couple, qui vit dans des foyers et des abris de fortune, a demandé une procréation assistée. Qui a été accordée. Car il y avait un authentique "désir d'enfant".
Il faut savoir que chaque essai de procréation médicalement assistée coûte dans les 3500€ et que le taux d'échecs est de 85%.
Voilà en partie pourquoi nos médicaments "de confort" ne sont plus remboursés.

 

la justice en Frnce

TeleObs.com revient sur la mort de deux adolescents à Clichy-sous-Bois en octobre 2005 après s'être cachés dans un transformateur EDF pour échapper à la police. On apprend que les deux policiers, poursuivis pour "non-assistance à personnes en danger", vont pouvoir être renvoyés en correctionnelle. Parce qu'ils n'ont pas alerté l'EDF pour que le courant soit coupé dans ce transformateur.
Dans le feu de l'action, quand tout se passe très vite, combien d'entre nous auraient pensé à demander à l'EDF de couper le courant?
Puis, tant qu'à poursuivre les coupables de ce drame, comment se fait-il qu'on ne fasse pas un procès à l'Education Nationale? Vous vous rendez compte? Des adolescents qui sont passés par l'école obligatoire, laïque et gratuite et qui ne savent pas lire "Danger de mort"?

 

les démocrates

Vu dans le Salon Beige,via le Figaro, Michèle Alliot-Marie nous dit sa préoccupation devant "les risques d'une résurgence violente de l'extrême gauche radicale" qui "se caractérisent par leur rejet de toute espèce d'expression politique démocratique et leur discours extrêmement violent."
Ces groupes ont au moins une chose en commun avec la caste si politiquement correcte qui nous gouverne tout en muselant le mouvement national : le rejet de toute espèce d'expression politique démocratique.

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