jeudi, décembre 31, 2009

 

un président s'excuse auprès des chrétiens

Vu dans le Figaro du 31/12/2009

Le président sénégalais Abdoulaye Wade a présenté hier soir ses excuses aux chrétiens du Sénégal et du monde après ses propos sur la religion chrétienne jugés "blessants" par l'Eglise sénégalaise, rapporte l'Agence de presse sénégalaise. (...)
Des échauffourées ont éclaté hier soir à Dakar, engtre de jeunes chrétiens et les forces de l'ordre, après un "message du Nouvel an" de Théodore Adiren Sarr qui avait dénoncé" dans son discours les propos du chef de l'Etat sénéglais. "Meurtris et humiliés, nous l'avons été par l'amalgame que le chef de l'Etat a établi entre le monument de la renaissance africaine et les représentations qui se trouvent dans nos églises", a-t-il dit. "Il est scandaleux et inadmissible que la divinité de Jésus Christ, cœur de notre foi, soit mise en cause et bafouée par la plus haute autorité de l'Etat", a-t-il ajouté.


Et les Français? Quand se mettront-t-ils eux aussi, à défendre leur foi?

mercredi, décembre 30, 2009

 

attentats et terroristes réhabilités

Vu dans lexpresse.fr du 29 décembre

« Ancien prisonnier de Guantanamo, Said Ali Shari est retourné dans les rangs d’Al-Qaïda au Yémen, il y tient même une place importante dans la hiérarchie de l’organisation. Il serait l’un des organisateurs de l’attentat manqué sur le vol Amsterdam-Detroit le 25 décembre dernier.
La piste yéménite, (…) mène les enquêteurs sur les traces d’ex-détenus de Guantanamo « réhabilités ».
(…) C’est aussi dans ce pays (Yémén) qu’il (Umar Farouk Abdulmutallah) aurait croisé la route de Muhamad Attik al-Harbi et de Said Ali Shari, deux des cerveaux de l’opération revendiquée par la branche d’Al-Quaeda au Yémen, d’après ABC News.
Ces deux noms sont connus des services de renseignement, notamment américains. D’après la chaîne de télévision américaine, il s’agit en effet d’ex-détenus de Guantanamo, portant respectivement les numéros 333 et 372. ABC News a croisé ces noms avec une liste publiée en mai dernier par le Pentagone : ce document recense 27 « cas avérés » de « retour à des activités terroristes » parmi les plus de 500 ex-détenus libérés de Guantanamo. »
L’article nous parle des failles dans les programmes de réhabilitation, par exemple au Yémen ou le programme de réhabilitation a été interrompu car trop d’anciens de Guantanamo rejoignaient trop vite les rangs d’Al-Qaeda ou d’autres groupes terroristes.
Tout ceci me fait penser à ces libéraux Américains ("liberal" en anglais veut dire de gauche) qui ont tant réclamé pour obtenir la fermeture de Guantanamo, accusant le gouvernement de n'avoir enfermé que des innocents.
Alors, bien qu'elle soit un peu longue, je vous donne la lettre que voici :

Lu dans PRESENT du jeudi 10 décembre 2009-12-30

" Une Canadienne lui ayant écrit pour dénoncer le triste sort qui, selon elle, serait réservé aux talibans, ces braves garçons, emprisonnés dans les centres de détention en Afghanistan, le ministre canadien de la Défense, Gordon O’Connor lui a répondu. Voici cette réponse :

Chère citoyenne inquiète,
Merci pour votre récente lettre exprimant votre profonde préoccupation concernant le sort des terroristes d’Al-Qaïda capturés par les forces canadiennes, transférés ensuite au gouvernement afghan et à présent détenus par leurs officiels dans les centres nationaux de regroupement des prisonniers en Afghanistan. Notre administration prend ce sujet très au sérieux et votre message est reçu fort et clair ici à Ottawa.
Vous serez heureuse d’apprendre que, grâce au souci de citoyens comme vous-même, nous créons un nouveau département au sein de la Défense nationale, qui sera nommé PLART. Soit « Programme des libéraux qui assument la responsabilité pour des tueurs. »
En accord avec les lignes directrices de ce nouveau programme, nous avons décidé d’élargir un terroriste et de le placer sous votre surveillance personnelle. Votre détenu particulier a été sélectionné et sera convoyé sous escorte lourdement armée jusqu’à votre domicile à Toronto (…).
Ali Mohammed Ahmed bin Mahmud (vous pouvez l’appeler simplement Ahmed) sera pris en charge selon les normes que vous avez personnellement exigées dans votre lettre de réclamation.
Il sera vraisemblablement nécessaire que vous fassiez appel à des assistants. Nous mènerons des inspections hebdomadaires afin de nous assurer qu’Ahmed bénéficie bien de soins et de toutes les attentions que vous recommandez avec autant de fermeté dans votre lettre. Malgré le fait qu’Ahmed soit un sociopathe extrêmement violent, nous espérons que votre sensibilité à ce que vous décrivez comme son « problème comportemental » vous aidera à surmonter ses troubles du caractère. Vous avez peut-être raison quand vous décrivez ces problèmes comme de simples différences culturelles. Nous comprenons que vous avez l’intention de lui fournir conseils et éducation à domicile.
Votre terroriste adopté est redoutablement efficace dans les disciplines de close-combat et peut mettre fin à une vie avec des objets simples, tels qu’un crayon ou un coupe-ongles. Nous vous conseillons de ne pas lui demander de faire une démonstration lors d’une prochaine séance de votre groupe de yoga. Il est également expert en explosifs et peut en fabriquer à partir de produits ménagers ; Peut-être vaut-il mieux que vous les gardiez donc sous clef, à moins que vous considériez (selon l’opinion que vous exprimez) que cela pourrait l’offenser.
Ahmed ne souhaitera pas entretenir de relations avec vous ou vos filles (excepté sexuellement), dans la mesure où il considère que les femmes sont une espèce de marchandise sous-humaine. C’est un sujet particulièrement sensible pour lui et il est connu pour manifester des réactions violents envers les femmes qui ne se soumettent pas aux critères d’habillement qu’il recommandera comme plus particulièrement adaptés.
Je suis persuadé qu’avec le temps, vous viendrez à apprécier l’anonymat qu’offre la burqa. Rappelez-vous que cela fait partie du « respect des croyances religieuses », ainsi que vous l’écrivez dans votre lettre.
Merci encore pour votre souci. Nous apprécions vraiment que des concitoyens comme vous nous indiquent comment bien faire notre travail et nous occuper de nos congénères. Prenez bien soin d’Ahmed et souvenez-vous que nous vous observons.
Bonne chance et que Dieu vous bénisse.
Gordon O’Conner
Ministre de la Défense nationale"

 

mardi, décembre 22, 2009

 

Joyeux Noël à tous




Les rois se prosterneront devant lui, et les nations le serviront.
Il délivrera le pauvre qui appelle, et le petit sans défenseur.
Il aura compassion du faible et du pauvre
Il sauvera la vie des malheureux:
De l'oppression et de la violence il rachètera leur vie
Car leur vie a du prix à ses yeux.
Ps 71

 

aîe

Je viens de regarder les commentaires envoyés par ceux qui me font l'honneur de me lire, et de les faire publier.
Merci à un lecteur anonyme qui me montre et explique les fautes que je fais en français - par étourderie, pour être trop pressée. J'imagine comme cela doit vous heurter, et je vous en demande pardon. Il faudra que je fasse davantage attention à mes rédactions. Message reçu.

vendredi, décembre 18, 2009

 

quand l'idéologie bute contre la réalité

Lors du débat sur l'identité nationale à Toulouse, un étudiant a pris la parole pour se plaindre de la "répression policière dans le quartier" (de la faculté des sciences sociales), après avoir annoncé qu'il ne se sentait pas Français, mais Breton, et ne comprenait pas qu'on puisse être fière d'être Français. Ce jeune homme n'a visiblement jamais été agressé physiquement. Le jour où ces horribles policiers quitteront le quartier il se peut que les lacunes dans l'éducation de ce jeune commenceront à être comblées.

Vu dans le blog d'Yves Daoudal:
Extrait d'un article du Monde :

"Lundi 14 décembre, il est un peu plus de 15 heures lorsque trois individus s'introduisent dans un amphi de Paris-XIII-Villetaneuse et commencent à chahuter. Un étudiant demande le calme. Invectives. Bagarres. Le bras que lève le jeune homme pour se protéger le visage est lacéré de plusieurs coups de couteau.

Coincée entre deux cités, l'université de Villetaneuse est un lieu de squat pour les jeunes des quartiers voisins. Faute d'y étudier peut-être, ils y zonent. Le raconter contribue à stigmatiser l'université, se taire, c'est laisser la violence s'installer.

« Oui, c'est l'omerta. Depuis pas mal de temps déjà, on fait comme si rien ne se passe. Je vote à gauche. Je n'aime pas le discours sécuritaire, mais je souhaiterais plus de présence policière », regrette Michel Renault, secrétaire pédagogique de l'institut d'études judiciaires. Une enseignante a demandé à ne pas assurer de cours en fin de journée pour éviter d'emprunter de nuit le bus qui mène à la gare.

Depuis septembre, une vingtaine de plaintes ont été déposées pour des faits qui se sont déroulés sur le campus. Selon une main courante électronique, mise en place par le président de l'université, Jean-Loup Salzmann, 83 incidents ont été signalés : 10 agressions, 7 dégradations de biens publics, 7 dégradations de véhicules, 14 vols de biens privés et 45 perturbations de cours. « Et tous les incidents ne remontent pas. Ce n'est pas dans la culture universitaire », tempère un professeur.

En attendant, « nous avons dévolu trois fonctionnaires à la sécurité, opté pour les services d'une entreprise de sécurité », rappelle celui qui dépense autant sur ce poste « que dans le budget de fonctionnement des laboratoires de recherche ». Et ça ne suffit pas.

(via François Desouche)

 

IDENTITE NATIONALE

Il n'est pas rare, hélas, de lire des déclarations de certains évêques catholiques se prononçant pour tout ce qui est multiculturelle et multiraciale. Peut être est-ce parce que l'Eglise catholique est universelle, accueillant dans son sein tous les peuples, toutes les cultures, que certains ont donné dans la confusion entre l'Eglise et la nation.
Ainsi, quand un évêque (français!) parle autrement de l'identité française, je suis ravie de transmettre, même si le texte est un peu long.
Texte pris dans le blog le salon beige.
"Voici un long extrait de la contribution au débat sur l'identité nationale de Mgr Bagnard, évêque de Belley-Ars :
"(...) Si l’on s’interroge sur l’identité nationale, c’est que l’on ne sait plus ce que l’expression recouvre exactement. La cause en est due d’abord à l’impact de l’Europe sur notre pays ! En devenant membres de l’Union Européenne, les français voient plus ou moins s’effacer le sentiment de leur appartenance à la Nation. De ce fait, la notion de nationalité, sans vraiment disparaître, passe au second plan. On se dit facilement citoyen de l’Europe et même parfois, plus radicalement encore, "citoyen du monde." Que de¬vient alors le lien qui unit à son pro¬pre pays ?
L’une des autres causes qui entoure d’un brouillard l’identité nationale, c’est l’arrivée dans note pays d’un grand nombre d’ « étrangers ». Un seul exem¬le : quand l’équipe de football qui défend les couleurs de la France, se présente avec une majorité de joueurs d’origine africaine dans ses rangs - ce qui n’est en rien critiquable, bien entendu ! - on se pose la question :"Que veut dire exactement l’expression : "équipe de France" ?
Or, c’est au moment où se brouille la conscience de ce que l’on croyait être jusqu’alors, que l’on s’interroge sur la réalité de ce que l’on était vrai¬ment ! Qu’est-ce qui fait que l’on est français ?

A n’en pas douter, l’un des chemins qui ouvre à l’identité nationale passe par l’histoire. C’est dans l’héritage reçu des siècles que se reflète le visage d’une nation (...)
Ainsi, comme évêque de Belley-Ars, je ne peux pas ignorer que la présence d’un évêque, identifiée avec certitude par l’histoire dans la Ville de Belley, remonte à l’an 412. Il s’appelait Audax. L’Evêque actuel est le centième d’une lignée qui en compte quatre-vingt-dix neuf avant lui. Ainsi, depuis seize siècles, le christianisme est présent - de façon organisée - sur notre région. Comment, sur une aussi longue durée, l’Évangile n’aurait-il pas façonné le comportement de ses habitants, leur mode de pensée, leur culture, leur vision de l’existence ?
On peut discuter sur le bien fondé de cet impact, mais on ne peut contester les données objectives de l’histoire. Les traces de cet héritage sont là sous nos yeux. Il suffit de voir "ce long manteau d’églises et de cathédrales qui recouvre notre pays pour comprendre que les valeurs chrétiennes ont dû quand même y jouer un rôle", déclarait Nicolas Sarkozy, le 13 décembre 2007. Pour¬quoi s’en excuser ? Pour¬quoi s’en défendre puis¬que nous sommes tout simplement devant une don¬née de fait ?
La culture issue de cette imprégnation des siècles est si profondément en¬ra¬ci¬née qu’elle est devenue comme une seconde nature ; elle fait si bien corps avec chacun d’entre nous qu’elle a ce grave inconvénient de ne plus s’interroger sur les origines où elle a puisé sa sève.
Jean-Paul II avait justement osé dire au Bourget, le 1er juin 1980 : "On sait la place que l’idée de liberté, d’égalité et de fraternité tient dans votre culture, dans votre histoire. Au fond, ce sont là des idées chrétiennes." S’interroger sur l’identité nationale, c’est donc retrouver le chemin des origines et les as¬su¬mer comme un creuset qui, au fil des siècles, a forgé l’identité de notre pays.
Cette interrogation conduit à reconnaître que l’un des facteurs majeurs de cette identité, c’est bien le christianisme. Nicolas Sarkozy avait dit au Latran : "Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes... Une nation qui ignore l’héritage éthique, spirituel, religieux, de son histoire commet in crime contre sa culture.. Arracher la racine, c’est perdre la signification, c’est affaiblir le ciment de l’identité nationale et dessécher davantage encore les rapports sociaux qui ont tant besoin de symboles de mémoire."
Il est vrai que le siècle des Lumières a contesté cet héritage, mais il en est resté, malgré lui, profondément imprégné. Le cadre mental dans lequel il exprimait ses "idées nouvelles" continuait à s’alimenter souterrainement à la Source qu’en surface il rejetait !
Sans ce référentiel fondamental, il n’aurait pas pu élaborer la Déclaration universelle des Droits de l’homme, dont l’un des principes fondamentaux est le respect dû à tout être humain. Car tous les hommes sont égaux en dignité. Chacun a donc le droit d’être reconnu pour lui-même, qu’il soit croyant, non croyant, libre penseur, etc...
Et justement, l’esprit de la laïcité s’engage à réunir les conditions permetant aux croyants et aux incroyants de vivre ensemble, la base de cette convivialité étant le respect de la conscience de chacun. Nous sommes typiquement devant la version séculière du message évangélique !

Aussi quand, sur l’horizon qui nous est familier, surgissent d’autres cultures - issues d’autres religions - nous nous interrogeons légitimement sur leur compatibilité avec notre propre identité nationale. Et c’est aussi l’occasion d’avoir une plus claire conscience de ce que veut dire être français. Au nom de cette identité, nous interrogeons l’Islam. Accepte-t-il, dans les faits, la liberté de conscience ? Intègre-t-il, dans le champ social, l’égalité entre l’homme et la femme ? Le respect des consciences va-t-il jusqu’à accueillir le changement de religion sans crainte de représailles ? Peut-on être tranquillement adepte d’une autre religion dans un pays musulman ? Si la réponse est "oui" pour tel pays, et "non" pour tel autre, alors y a-t-il un organisme officiel qui définit la juste pensée de l’Islam ? Où se trouve la véritable interprétation ? Le Français a besoin de le savoir au moment où son pays accueille cette culture sur son territoire et cela au nom de l’identité nationale.
Car voici, par exemple, ce que je lis sous la plume d’un Père Jésuite égyptien, le Père Boulad, bon connaisseur de l’islam : "Quand un musulman me dit : l’islam est la religion de la tolérance, je lui réponds : parmi les 57 pays musulmans de la planète, cite m’en un seul où la liberté religieuse existe. Si bien que le non-musulman n’a pas sa place. Il est toléré, tout juste, comme dhimmi, mais à part ça, non. La tolérance, pour l’islam, c’est que vous êtes toléré comme citoyen de deuxième zone en tant que chrétien ou juif. Mais en dehors de ça, si vous êtes bouddhiste ou hindouiste, vous n’êtes plus toléré. Vous êtes un kafir, c’est-à-dire carrément un apostat, un impie. [...]"
N’est-ce pas le rappel de l’exigence d’un dialogue en vérité, au moment où l’on s’interroge sur l’identité nationale ? Et cette exigence dépasse largement la discussion sur la hauteur des minarets, même si celle-ci est à prendre aussi en considération."

 

le drapeau

Ici à Toulouse nous sommes outrés par le comportement de ces "jeunes" qui ont grimper sur la façade du Capitole pour enlever les drapeaux de la région, de la France et de l'Europe, et qui ont brûlé le drapeau français. Il circule sur internet le témoignage d'un policier toulousain qui était de service ce soir là, au Capitole, et qui raconte comment la police a demandé à sa hiérarchie une cinquantaine de fois de lui donner l'ordre d'intervenir. Demandes qui ont été refusées.
Il est intéressant de savoir comment on traite les cas similaires en Algérie.
Le 7 décembre 2008, cinq lycéens à Bab-el-Oued ont hissé un drapeau français dans leur établissement scolaire et ont écrit, sur un cadre de leur classe où se trouvait le drapeau algérien (du FLN) "Vive la France!"
Le journal Présent (15 décembre 2009) nous dit ce que sont devenus ces cinq élevés du lycée Okba Ibn Nafaâ: condamnés à un an de prison ferme et une amende de 500 000 DA chacun. Le chef d'inculpation? Profanation de l'emblème national.
Les parents, à l'époque, avaient appelé à la mansuétude, plaidant une simple bêtise de jeunesse, mais cela n'a servi à rien et la procédure a suivie son cours.

Il y a six mois le tribunal correctionnel de Chéraga a fait comparaître quatre jeunes lycéens, sous le même chef d'accusation. Le procureur de la République avait requis dix ans de prison ferme à leur encontre, car c'est ce que la législation prévoit en Algérie.

 

débâts sur l'identité française

Lundi dernier à Toulouse a eu lieu le débat sur l'identité nationale, réunion tenue dans un amphithéâtre de la faculté des Sciences Sociales et pour laquelle il fallait montrer à l'entrée l'invitation du Préfet.
Retenue par une autre réunion, je suis arrivée un peu tard au débat, mais à temps pour voir qu'on ne parle pas de la France, mais de la république. A croire que sur les quinze siècles d'existence de la France, seuls les deux derniers comptent.
Immigrés africains bien représentés, ainsi que les étudiants "formatés".
Une conseillère régionale UMP demandait déjà la parole quand je suis arrivée; elle l'a eu un demi heure plus tard. Quant à moi, qui aurait aimé parler de la spécificité française qui est si évidente à l'immigrée que je suis, je n'ai pas eu droit à la parole.
Pourtant tous les débats ne se ressemblent, puisque le candidat du FN pour les régionales a pu s'exprimer longuement (et bellement) dans des villes moyens de la région Midi Pyrénées, et il n'était pas le seul à dire quelques évidences.

 

de retour

Me voici de retour, les problèmes d'ordinateur et nouvelle Freebox, étant maintenant résolus.
Pour ceux qui me lisent, merci de votre patience.

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