A vrai dire

Pris dans le dernier numéro de la DÉPÊCHE HEBDOMADAIRE DE NOUVELLES CHRETIENNES UNEC, BP 70114, F-95210 St-Gratien :(les phrases en gras le sont par mes soins).

Un ancien dissident russe, Vladimir Konstantinovich Bukovsky, qui a passé 12 ans dans un goulag soviétique, a de nouveau prévenu les Européens d’un danger gigantesque. « C’est étonnant, dit-il dans un documentaire télévisé ‘Britain on the Brink’, que juste après avoir enterré le monstre ‘Union Soviétique’, un autre monstre qui lui ressemble beaucoup, l’Union Européenne, se construit. Les deux systèmes se fondent sur la même idéologie. L’U.E. n’est autre que l’ancien modèle soviétique, présenté de façon occidentale ». Pour lui, c’est un gang d’oligarques rouges à Bruxelles qui, avec quelques alliés dans les parlements nationaux, sont en train de créer un super-état européen de style communiste dans lequel la souveraineté nationale et la démocratie seront du passé. Il a mis en garde les Européens que l’U.E. utilise « un goulag intellectuel du politiquement correct » pour supprimer toute opposition. « C’est le début du goulag, le début de la perte de la liberté », a-t-il martelé. Selon lui, en simulant quelques pratiques démocratiques, le Parlement Européen exerce la même fonction que le Soviet Suprême : il ne fait que ‘tamponner’ les décisions faites par un petit nombre de chefs non-élus. « Dans l’Union Soviétique, on apprenait aux gens d’oublier leur propres nationalités, traditions et habitudes ethniques, pour devenir ‘une nouvelle entité historique, le peuple soviétique’. L’U.E., dit-il, suit le même principe d’éradication culturelle. Ils ne veulent pas que vous soyez Anglais ou Français. Ils veulent que vous soyez une nouvelle entité historique, des ‘Européens’. Ils veulent que vous supprimiez tous vos sentiments nationaux et que vous viviez comme une communauté multinationale. » Ainsi, selon Bukovski, Bruxelles veut absorber les états nationaux, il faut qu’ils cessent d’exister. Bukovski prévient que l’U.E., en dépit de son succès apparent (27 pays, 500 millions d’habitants, une monnaie commune, 30 % du PIB mondial), contient, comme l’Union Soviétique, dans ces principes anti-démocratiques « la semence de sa propre destruction. Malheureusement, quand elle s’effondrera – et elle s’effondrera -, elle laissera des destructions énormes derrière elle, et nous nous retrouverons avec des problèmes économiques et ethniques insurmontables ». En confirmation, rappelons simplement que le Traité de Lisbonne, qui nous sera imposé tôt ou tard, si nous le voulons ou pas, établit « compétence et primauté sur les lois propres des états membres » ! Déjà en 2006 Bukovski, qui vit actuellement en Angleterre, avait déclaré à Bruxelles que le « monstre » de l’U.E. doit être démantelé avant qu’il devienne un vrai et unique état fédéral. La même année, candidat à l’époque aux présidentielles russes, il déclara à Budapest qu’il a vu des documents du Politburo et du Comité Central datés de 1992 qui confirmaient l’existence d’une ‘conspiration’ pour transformer l’U.E. en une organisation socialiste. « Ces documents prouvaient clairement que toute cette idée de transformer le marché commun en un état fédéral fut convenue entre Moscou et les parties de gauche en Europe». Ils voulaient créer ‘un super-état transnationale socialiste’ pour stopper ce qu’ils appelaient ‘le capitalisme sauvage’. – (ru ; cf. LifeSiteNews 23.5.)

L'AGRIF depose plainte pour détournement de fonds publics au profit du groupe se dénommant "les sœurs de la perpétuelle indulgence - couvent de Paname" par le Conseil Régional d'Ile-de-France et la Mairie de Paris.
En effet, le Conseil Régional s'apprête à voter ce jeudi une subvention de 23 000€ à cette organisation qui prétend militer contre l'homophobie et contre le SIDA. La Mairie de Paris, elle, va financer pour sa part à hauteur de 19 927€ ces "sœurs" qui utilisent par dérision anti-catholique l'image et l'habit de religieuses catholiques.
"Or pour lutter efficacement contre le SIDA il y a d'abord les moyens de la recherche médicale. Les "sœurs" en question qui se promènent dans les gay-pride, ou manifestations dites de "la sainte capote", généralement habillées par devant et dénudées par derrière, ne se préoccupent évidemment pas de recherche médicale ni de subventions sans discrimination aux malades.
Bien au contraire, elles agissent pour une banalisation des mœurs qui sont leur affaire mais qui ne vont pas à l'encontre du développement de cette maladie.
Subventionner leur association de pitoyable carnaval exhibitionniste, c'est d'abord une injure à toutes les religieuses qui, de par le monde, dans les dispensaires et les hôpitaux se dévouent aux malades dans la discrétion et l'humilité, souvent jusqu'au sacrifice de leur vie. Mais cela (ces subventions) constituent évidemment un cynique et intolérable détournement de fonds publics."
(communiqué de B.Antony, président de l'AGRIF).

Il faut saluer les actions de l'AGRIF,(Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne) 70 Bd Saint Germain, 75005 Paris, tél 01 40 46 96 31, qui est la seule association qui porte devant les tribunaux la défense des français victimes de racisme. Association a-politique, sans subvention contrairement à SOS Racisme et autres, elle ne fonctionne que par les adhésions très modestes de ses membres, et par leurs dons.

Je vous ai déjà entretenu des conséquences observés sur les poissons, des œstrogènes introduits dans la nature par les eaux usés. La situation s'aggrave.
Toujours dans les Cahiers de Saint Raphaël de mars 2009:
"L'idée émise par l'ouvrage de Jean-Pierre Dickès L'homme artificiel selon laquelle les contraceptifs oraux et traitements substitutifs de la ménopause était en train de polluer la planète entière dans un premier temps a semblé totalement farfelue. Elle Quarante s'appuyait sur la féminisation massive des poissons des estuaires de tous les fleuves du monde. Et sur l'augmentation impressionnante des stérilités masculines en Ecosse. On sait depuis que l'Amérique a le même problème. Un homme sur trois est désormais stérile par effondrement du nombre des spermatozoïdes. Certes sont incriminés les pesticides. or le président de l'association mondiale des médecins catholiques le Dr Castellvi (espagnol) vient de reprendre cette analyse. Une publication de l'Osservatore Romano considère que la pilule contraceptive a créé une véritable dévastation de l'environnement. Plus de 300 publications scientifiques vont désormais dans ce sens. Il y a un rapport intitulé Quarante années de Humanae Vitae à l'éclairage de la perspective médicale. Flavia Franconi de la Société Italienne de Pharmacologie explique que les produits de dégradation des hormones synthétiques se retrouvent désormais partout : la viande que nous mangeons, les désinfectants, les plastiques. La pilule dite du lendemain va accrôitre très rapidement le phénomène en raison des doses employées. Les poissons changent massivement de sexe ainsi que les oiseaux qui se nourrissent de poissons. Il 'st émis aussi que l'épandage des hormones féminines dans la nature expose à terme à l'infertilité par blocage ovulatoire diffus. Le Vatican en profite pour rappeler que la World Health Organisation (organisation mondiale de la santé) a classé en juillet 2005 les pilules contraceptives comme agents cancérigènes.

Plus on regarde les émissions donnant la parole aux candidats aux élections européennes plus on voit à quel point 99% des personnalités politiques sont à l'aise dans le mensonge le plus éhonté.
Marine Le Pen a fait ce qu'elle a pu hier chez Serge Moati et ses autres invités pour dire la vérité, mais il est ahurissant de voir et entendre ces gens dire avec aplomb qu'il sont contre l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne quand on sait qu'ils ont tout fait pour faire avancer la cause de la Turquie. Ou quand ils essaient de faire croire qu'il y a une gauche et une droite au Parlement européen, quand on sait qu'ils votent tous d'une voix ces lois liberticides pour les peuples.
Décidément, il faut en finir avec "le machin" de cette Europe là.

Lu dans Les Cahiers Saint Raphaël du mars 2009 :
"Pour Mme Chirac, présidente de la Fondation du même nom, la notoriété rapporte bien plus à l'association en comparaison de ses frais. Mme Chirac, est-elle aussi bénévole non-salariée? Ses lignes de frais sont plus détaillées, car elle tient à la plus grande transparence quant au budget de sa fondation. C'est ainsi que, pour l'année 2007, Mme Chirac a signifié avoir dépensé pour le bon fonctionnement des "Pièces jaunes" un budget de:
- 30 000€ de frais de garde-robe
- 48 000€ pour son véhicule associatif (leasing + assurance + entretien + carburant pour une Peugeot 607 très haut de gamme)
- 347 000€ de frais de déplacement (hôtels, avions, trains, véhicules...)
- 285 000€ de frais de bouche (réceptions, repas pris à l'extérieur...)
- 52 000€ de frais divers (téléphone, timbres...)
- 927 000€ de frais de personnel. Elle a à sa disposition un bataillon de chauffeurs et de secrétaires, au nombre de 14, tous issus de l'ancienne équipe de Jacques Chirac, et virés par le nouveau président de la République.

Soit une dépense moyenne de 141 000€ par mois !

Bien sûr, nous savons que les grandes associations charitables ont des frais de fonctionnement. Tout de même......

Juste un rappel sur la doctrine de l'Eglise sur le problème de l'homosexualité, vu dans L'Homme Nouveau du 23 mai 2009 :
"Dans la Déclaration Persona humana, l'Eglise enseigne : "Selon l'ordre moral objectif, les relations homosexuelles sont des actes dépourvus de leur règle essentielle et indispensable. Elles sont condamnées dans la Sainte Ecriture comme de graves dépravations et présentées même comme la triste conséquence d'un refus de Dieu (Rm 1, 24-27; 1 Co 6, 9; 1 Tm 1,10). Ce jugement de l'Ecriture ne permet pas de onclure que tous ceux qui souffrent de cette anomalie en sont personnellement responsables, mais il atteste que les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés et qu'ils ne peuvent en aucun cas recevoir quelque approbation". (Congrégation pour la Doctrine de la foi, 29 décembre 1975, n.8).

On peut donc voir facilement que ce sont les actes et non les personnes qui sont blâmables. Ceci est en accord avec ce que l'Eglise a toujours enseigné : miséricorde pour le pécheur mais pas pour le péché. Ainsi, on ne juge pas la personne, mais l'acte. Je pense que ceux qui refusent de juger même les actes, se trompent lourdement. Ils tombent dans le piège de la non-discrimination, c'est à dire du refus de choisir entre une chose et une autre, entre le bien et le mal, entre le mieux et le pire. Et pourtant, dans la vie quotidienne que faisons nous d'autre? Il faut dissoudre la HALDE.

Sur e-deo via le salon beige:
"Chez les homosexuels, l'exclusivité sexuelle est rare. [...] Pour une moyenne d'age de 35 ans, 94% des homosexuels dénombrent plus de 15 partenaires tandis que 47% des homosexuels ont eu entre 100 et 999 partenaires..."
Croyez-vous que l'on puisse honnêtement appeler cela "mariage"?
Et l'adoption des enfants par ces "couples" là?

Je reviens encore sur la loi naturelle. Vu sur la revue de la femme très moderne ELLE d'octobre 2008 un article "Ces superwomen qui veulent rentrer à la maison". Eh oui. Au moment où un homme politique italien est chassé de ses fonctions de commissaire de l'Union européenne pour avoir dit qu'il était naturel que la femme ait des enfants et que le mari la protège, elle et ses enfants, les femmes se mettent tout doucement à renier l'idéologie féministe.
Je vous livre quelques citations prises dans l'article mentionné.
Les enquêtes sur les valeurs des jeunes : "celle menée par la Fondation pour l'innovation politique en janvier dernier montrait que la vie de famille, l'amour et la fidélité étaient les seules valeurs sûres des 16-29 ans dans un monde vécu comme hostile. Au point qu'on ne compte plus chez les filles les plus diplômées celles qui choisissent de lâcher leur boulot 'à haut potentiel' pour élever tranquillou leur progéniture (...). Prenez enfin le constat consterné du Planning familial qui assiste médusé à une défiance nouvelle des jeunes femmes vis-à-vis de la pilule, dont les ventes baissent année après année (moins deux millions de plaquettes entre 203 et 2006)."
"Elodie, 32 ans: diplômée d'une des cinq plus grandes écoles de France, elle lâche tout après avoir bossé comme une tarée pendant cinq ans,(..) 'Etre systématiquement cataloguée 'bobonne', c'est parfois dur à assumer. Sans compter le salaire en moins, la dépendance financière vis-à-vis de son conjoint, parfois inquiétante...Sauf qu'au jour le jour, c'est le bonheur!"
Quant à la fameuse 'libération sexuelle', elle serait devenue une injonction tétanisante, comme en témoignent les sexologues, débordés par des jeunes qui cherchent leur chemin vers une sexualité plus ordinaire après avoir vu des pornos trop tôt. C'est Claire, 28 ans, qui résume le sentiment général: "Catherine Millet, une femme libérée, tu parles ! Se faire baiser dans des partouzes sans jamais jouir, c'est ça la liberté? Non merci, je préfère coucher toujours avec le même, et que ça soit bien gentil et doux." Non seulement les préjugés sur la pilule reviennent en force (...) mais les spécialistes constatent que la virginité des filles est une valeur partagée par les jeunes générations.(...) La génération des féministes a tenté de s'en dégager, les jeunes filles y reviennent. Autre combat féministe mis à mal : l'injonction d'allaiter est plus forte que jamais, y compris dans les maternités publiques. Résultat : 64% des mères donnent le sein aujourd'hui, contre 30% dans les années 70.
Juliette, 26 ans : "Regardez la vie des filles d'aujourd'hui. Seules ou en couple, à jongler avec un boulot pourri et des enfants qu'elles n'arrivnet pas à voir et l'impression de passer à côté de tout. Ma mère a fait ça toute mon enfance. Elle n'était jamais là, toujours culpabilisée... En plus elle a galéré pour tout, le boulot, les hommes, le fric, tout! Et elle est passé à côté de l'nfantce de ses enfants. Le bilan ne fait pas envie. Je ne referai pas les mêmes erreurs. Je veux profiter de mes enfants. Je ferai tout pour ne jamais divorcer.
Alice, consultante de 34 ans, qui a préféré prendre un congé parental à une promotion professionnelle : "Pour cette génération de femmes, élever des enfants c'était forcément pénible. Moi, j'aime être avec mes petits, c'est mon plaisir. Est-ce que ça fait de moi une femme soumise, réac, ou seulement déterminée par mon genre sexuel?"
Marie, brillante ingénieur de 33 ans: "Moi, la superwoman, j'ai pété les plombs après la naissance de ma fille. J'ai dit non à ma carrière, oui à la maman que j'avais envie d'être. Il m'en a fallu des séances de psychanalyse pour comprendre que c'était mon vrai désir, que j'avais fait des études pour faire plaisir à mon père, que je n'aimais ma vie d'avant. Mon choix de rester à la maison, qui a sidéré mes parents, c'est une liberté que je m'autorise."

Cécile, 32 ans, mariée, 3 enfants: "J'étais assistante de direction? Je travaillais une quarantaine d'heures par semaine, c'était passionnant." Mais elle a démissionné lors du congé maternel pour son deuxième enfant, ayant "trop souffert d'être tiraillée entre mon plaisir de travailler et mon désir de maternité. Mon mari, compositeur de musique, m'a aidée à prendre cette décision. Le monde du travail ne me manque absolument pas. Mon épanouissement personnel passe entièrement par le 'développement' et le bien-être de ma famille. Il n'y a rien de honteux ni de régressif dans le fait d'être une femme au foyer. Je ne suis pas "que" cela. C'est aussi un vrai travail de s'occuper de ses efants. Et je ne me suis pas coupée d'une vie intellectuelle, culturelle et sociale. Je ne regrette rien."
Stéphanie, 34 ans, en couple, un enfant : Je ne me suis jamais retrouvée dans le féminisme. Il y a des différences fondamentales entre les hommes et les femmes. La maternité en est une essentielle. Je compte être autant mère que femme. J'ai la chance de travailler de chez moi : ainsi mon fils, qui a bientôt 3 ans, n'a jamais été gardé. (...) Pourtant, j'ai une vie active : je suis journaliste et traductrice et je travaille aussi dans le milieu associatif."
Charlotte, 44 ans, célibataire, deux enfants de pères différents, qui "se revendique totalement féministe". : "J'ai demandé aux pères de mes fils de me soutenir financièrement pendant les trois ans suivant leurs naissances, afin que je puisse assumer convenablement mon rôle de mère. Il n'était pas question qu'un autre femme élève mon enfant à ma place. J'ai allaité le plus longtemps possible. Je voulais vivre mon 'féminisme biologique', et ça m'a beaucoup plu. La société devrait financer les années pendant lesquelles une femme s'occupe de son enfant, c'est un investissement à long terme, car ça fait des enfants plus épanouis."

Vous remarquerez qu'un seul parti politique en France, le plus diabolisé, le plus étouffé,le Front National, veut instaurer depuis des décennies le salaire parental : un salaire égal au SMIC avec couverture sociale et droit à la retraite, pour le parent qui choisit de rester à la maison pour élever les enfants. Non pas pour forcer les femmes à rentrer à la maison comme on essaie de lui faire dire, mais pour que les femmes aient vraiment la liberté de choisir.
L'idéologie régnante impose la liberté de choix pour avorter un enfant, mais le refuse aux femmes qui voudraient rester à la maison s'occuper de leur famille,pour le bonheur de tous si on en croit ces jeunes femmes de plus en plus nombreuses.
Regardez, et vous verrez qu'en fait "on" fait tout pour aller à l'encontre de la loi naturelle. Il est naturelle pour une femme de vouloir garder son enfant? On fait la promotion de l'avortement au lieu de financer des aides aux femmes en détresse. Il est naturelle pour une femme de vouloir s'occuper de son bébé les premiers années de sa vie? On fait tout pour limiter les congés maternels, et pour obliger les femmes à travailler. Il est naturelle dans le rythme de la vie humaine de prendre un jour de repos sans travailler, pour penser à autre chose que l'argent et l'économie? On fait tout pour faire travailler le dimanche. Les plus pauvres, bien sûr; ceux qui peuvent le moins se permettre de dire "non" aux patrons.
On fait des Grenelles de l'environnement, on se préoccupe de la planète, mais on ignore tout de l'écologie humaine.

Pendant des siècles, et des millénaires, les hommes ont cru en Dieu, ou en des dieux; en tout cas, en quelque chose ou quelqu'un qui les dépassait, qui était tout-puissant, qui avait crée le monde et le régissait. En quelque chose de transcendant.
Puis les "Lumières" sont passés par là, et des esprits rationalistes ont nié l'existence de Dieu. Surtout du Dieu chrétien. Mais ils croyaient à l'existence d'une loi naturelle. La Nature. Car il suffit d'observer le monde qui nous entoure pour s'apercevoir qu'il y a une loi naturelle qui ordonne tout. Les saisons, les plantes, les animaux, tous sont ordonnés de façon admirable.
De là à s'apercevoir qu'il y a une loi naturelle pour l'homme aussi, n'est pas difficile. Elle est codifiée de façon succincte dans les Dix Commandements et, si on les examine sans préjuger, on voit qu'en fait ils donnent la recette pour bien organiser la vie privée tout comme la vie en société. Les juifs et les chrétiens ne sont pas les seuls à considérer qu'on vit mieux si on a une vie spirituelle, si on se repose un jour de la semaine qui est consacré à ce qui nous transcende, si on honore ses parents, si on ne tue pas, ne ment pas, n'envie pas le voisin, ne lui prend pas son conjoint, ne triche pas, si on cherche la justice.
La loi naturelle n'est pas une vue de l'esprit. C'est une réalité et, comme nous disait un professeur de philosophie un jour, la loi naturelle est la loi qu'on ne peut pas briser, enfreindre. Si on essaie, c'est elle qui vous brise. Tous les poissons de la mer peuvent voter très démocratiquement d'aller vivre sur la plage. S'ils le font, ce n'est pas l'océan qui en mourra, mais les poissons.

Tout cela semble élémentaire, n'est ce pas, mes chers Watsons? Et pourtant, nous sommes "gouvernés" et au niveau national et au niveau européen, par des gens qui ne croient même pas à la loi naturelle. Est-ce donc surprenant que notre société soit, comme les poissons sur la plage, en train de se désintégrer?

Vu sur le site captaineuropa.comLes eurobéats ne savent plus quoi inventer pour rendre la mariée (l’Union européenne) séduisante ! Faire oublier aux Français, notamment les plus jeunes, la nocivité des politiques menées par l’UE, c’est la mission du Parlement européen des jeunes… qui distribue des petites affichettes au ton faussement provoc’.
Un premier visuel représente des menotes SM accompagnées du message “soumettez-les à vos désirs”. Suit un fouet : “pliez-les à vos désirs”. Enfin, des femmes et hommes-objets : “choisissez-les selon vos désirs”… les députés français au Parlement européen, bien sûr ! Ce discours (paradoxalement) moralisateur, “va voter (de préférence pour les listes UMP ou PS) ou je te fouette !” est destiné… aux lycéens !
Verdict ? “Les flyers finissent souvent à la poubelle” estime Guillaume Borie, le science-potiche apprenti technocrate et Président du PEJ. Peut-être le désamour à l’égard de l’Europe réside-t-il ailleurs : dans le fait, par exemple, que si à Paris PS et UMP s’évertuent à sa chamailler, à Strasbourg, ils votent pareil sans 97% des cas. Et si c’était la vraie transgression c’était de faire le choix d’une autre Europe ?


Et cela n'est qu'un exemple de ce que fait l'UE pour pervertir les jeunes. L'UE a subventionné des filmes pour promouvoir l'homosexualité, l'avortement et le vagabondage sexuel. Voter pour ceux qui veulent continuer cette Europe là, c'est se rendre complice. Voter UMP, PS égale voter pour le parti unique qui vote toujours dans le même sens au Parlement européen.

Il serait temps de prendre ses responsabilités.

Sur le blog d'Yves Daoudal :
"En juillet 2008, les supermarchés Monoprix et Géant du Liban ont été rachetés par le groupe koweitien TSC, qui affirmait alors qu'il ne changerait pas la politique de ces marques. Aujourd'hui, les Libanais constatent que le jambon a disparu des rayons, et que pour acheter de l'alcool il faut aller dans un endroit séparé et payer à une caisse spéciale. Ils constatent aussi que les employés chrétiens sont peu à pet remplacés par des employés musulmans. TSC étant les initiales de The Sultan Market, ce n'est pas étonnant....
Deux groupes ont été constitués sur Facebook pour protester. L'un des participants signale que l'Hotel InterContinental Phoenicia de Beyrouth ne sert plus de porc. Dans les commentaires de l'article de Libnanews, un intervenant écrit qu'à Saïda et à Tripoli les jours de congé ne sont plus le samedi et le dimanche mais le jeudi et le vendredi."

"La très sérieuse revue anglo-saxonne Nature rapporte ces derniers jours la découverte d'un nouveau test urinaire pour le dépistage du cancer de la prostate." (...) On cherche "ce métabolite prostatique qui joue un rôle important dans le développement du cancer de la prostate. Son nom? La sarcosine...il y en a un qui va être content. A noter au passage que la sarcosine et la nécrosine sont sur le plan de la biochimie, les deux et seuls produits de dégradation des protéines; en d'autres termes le résultat de la putréfaction de la chair...y compris celle de la prostate dans les cancers... Le stade ultime des cadavres..." (Cahiers Saint Raphaël no.94,mars 2009, Association catholique des infirmières, médecins et professionnels de santé. 18 Villa Rarchaert - 92390 Villeneuve-la-Garenne)
Comment ne pas imaginer que le cancer de la culture de mort, du mensonge institutionnalisé dans lequel nous vivons en France, a donné, lui aussi, de la SARCOsine?

Tous les Conseils régionaux font la promotion des langues dites régionales. L'occitan, par exemple. Et il est vrai que le patrimoine français comporte une richesse de ces langues du terroir français. Mais les autorités considèrent toute langue parlé par une proportion significative de la population comme langue régionale. L'arabe, par exemple.
Or selon l'INSEE dans une étude publié il y a deux ans, il y a en France 3 900 000 illettrés, soit 9% de la population en âge de se servir d'un stylo. Ont été rangées dans cette catégorie toutes les personnes qui ne sont pas capables de lire et de remplir un formulaire simple. (Une liste de questions accolées à une case dans laquelle il faut mettre une crois.Donc sans nécessité de rédiger quoi que ce soit.)
Le plus curieux est que cet illettrisme est proportionnel à la subsistance des langues locales, explique cette enquête. Y aurait il des millions de français dans des régions reculées, âgés et ne parlant que du patois et ne sachant pas lire le français?

LA PREPARATION
Au printemps de 1915, trois fillettes portugaises accompagnaient Lucia, 8 ans, dont la mère lui avait confié la garde du troupeau. Elles avaient monté leurs troupeaux jusqu’à la cime de la colline. Vers midi, elles mangèrent puis récitèrent leur chapelet, comme il était coutume de faire dans les campagnes portugaises de l’époque.
Puis elle virent comme suspendue en l’air au-dessus des arbres, une figure semblable à une statue de neige, que les rayons du soleil rendaient un peu transparentes. Tout en continuant le chapelet, les fillettes fixèrent les yeux sur cette figure, qui disparut dès qu’elles eurent terminé.
Les enfants n’ont jamais dit qu’ils avaient vu « un ange », mais seulement « quelque chose ». D’ailleurs ils furent sévèrement réprimandées par leurs parents et même battues. Mais cette « chose » apparaîtra deux autres fois aux mêmes fillettes.
Un an plus tard, au printemps 1916, Lucia avec cette fois ses cousins François et la petite Jacinthe gardaient leur troupeau sur le versant de la colline quand un vent assez fort secoua les arbres. Levant les yeux, les enfants virent au dessus des oliviers une chose de forme humaine s’approcher d’eux. Cette fois, la « chose » avait l’apparence d’un jeune garçon de 15 ans, vêtu d’un blanc pur, que le soleil rendait transparent comme du cristal.
Il leur dit « Ne craignez pas ! Je suis l’Ange de la Paix. Priez pour moi. » Puis, s’agenouillant à terre, l’ange courba le front jusqu’au sol et leur fit répéter trois fois ces paroles :
Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas.
Très Sainte Trinité : Père, Fils et Esprit Saint, je vous adore profondément et je vous offre les très précieux Corps, Sang, Ame et Divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles du monde, en réparation des outrages par lesquels il est Lui-même offensé. »
Pendant l’été de 1916, l’ange leur dit de prier, prier beaucoup, et d’offrir constamment au Très Haut des prières et des sacrifices. « Que devons-nous sacrifier ? » « Tout ce que vous pourrez : offrez à Dieu en sacrifice, un acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé et de supplication pour la conversion des pécheurs. Attirez ainsi la paix sur votre patrie. Je suis son ange gardien, l’ange du Portugal. Surtout acceptez et supportez avec soumission les souffrances que Dieu vous enverra. »
En septembre 1916 l’ange leur apparut tenant dans la main gauche un calice sur lequel était suspendue une hostie d’où tombaient quelques gouttes de sang dans le calice. L’ange laissa le calice suspendu en l’air, s’agenouilla près d’eux et leur fit répéter trois fois
« Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je vous adore profondément et je vous offre les très précieux Corps, Sang, Ame et Divinité de Jésus-Christ, pressent dans les tabernacles du monde, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences dont Il est Lui-même offensé, et par les mérites infinis de son Très Saint Cœur et du Coeur Immaculé de Marie, je vous demande la conversion des pauvres pécheurs. »
Ensuite, l’ange se releva et donna l’Hostie à Lucia, et partagea entre Jacinthe et François le calice. « Prenez et buvez le Corps et le sang du Christ, horriblement outragé par des hommes ingrats. Réparez leurs crimes et consolez notre Dieu. » Et se prosternant à terre de nouveau, il répéta encore trois fois la même prière puis il disparut.

LE 13 MAI 1917 était le dimanche avant l’Ascension. Après la messe, les trois enfants, Lucia, François revinrent à la maison, prirent le sac qui contenait leur repas, et allèrent, avec les brebis, jusqu'à la mare qui se trouve en dehors du hameau, vers l'endroit appelé Gouveia. Lucie, comme elle le faisait presque toujours, choisit elle-même l'endroit où ils devaient faire pâturer les brebis ce jour-là, un terrain appartenant à ses parents à la Cova da Iria. C'est là que se rendirent allègrement les trois enfants. Ils traversèrent lentement la lande pour permettre aux brebis de brouter le long du chemin. De cette manière, et parce qu'aussi le terrain était pierreux, hérissé ça et là de genêts épineux, la route fut assez longue, et ils n'arrivèrent à l'endroit désigné que peu avant midi. Ils ouvrirent alors leurs sacs de provisions, ils se signèrent, comme ils en avaient l'habitude, récitèrent un « Notre Père », et se mirent à manger, en prenant soin cependant de garder quelque chose pour le soir, avant de reprendre le chemin de la maison. Ils dirent ensuite les Grâces et récitèrent le chapelet puis, en haut de la pente de la Cova da Iria, se mirent à construire, pour s'amuser, un petit mur autour d'un buisson, quand soudain ils virent comme un éclair. Ils se regardent tout surpris. Ils savent qu'il n'y a pas d'éclair sans orage. Ils lèvent les yeux vers le ciel, mais, ni du côté du Levant, ni du côté de Santa Catarina, il n'y a le moindre indice de pluie. Pas le plus léger nuage ne vient obscurcir l'azur du ciel. Pas le plus léger souffle de vent. Le soleil est splendide, l'atmosphère chaude et calme. Cependant, ils décidèrent de rentrer à la maison.
Les petits descendirent donc la pente, poussant les brebis en direction de la route. Arrivés à la moitié de la pente, environ à la hauteur d'un grand chêne-vert qui se trouvait là, ils virent un autre éclair puis une Dame toute vêtue de blanc, et qui répandait la lumière autour d'Elle.
Surpris par cette Apparition, les enfants s'arrêtèrent à environ 1m50 de distance d'Elle. Alors la Dame dit :
- N'ayez pas peur, je ne vous ferai pas de mal.
- D'où venez-vous ?, demanda Lucie.
- Je suis du Ciel, répondit Notre-Dame.
- Et que voulez-vous de moi ?
- Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois de suite, le 13, à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. Après je reviendrai encore ici une septième fois.
(....)
- Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu'Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ?
- Oui, nous voulons.
- Vous aurez alors beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu sera votre réconfort.
Pendant qu'Elle prononçait ces paroles, Notre-Dame ouvrit les mains et, comme par un reflet qui émanait d'Elles, une lumière intense s'en dégagea. Lucie dit plus tard que « cette lumière intense pénétra notre cœur jusqu'au plus profond de notre âme. Elle nous faisait nous voir nous-mêmes en Dieu, qui était la lumière, plus clairement que nous nous voyons dans le meilleur des miroirs ».
Les enfants se mirent à genoux en récitant intérieurement cette prière :
« Ô, Très Sainte Trinité, je Vous adore.
Mon Dieu, mon Dieu,
je Vous aime dans le Très Saint-Sacrement. »
Avant de partir, Notre-Dame ajouta :
- Récitez le chapelet tous les jours afin d'obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre.
Après ces paroles, Elle s'éleva doucement, en direction du levant, jusqu'à disparaître dans le Ciel. La lumière qui l'environnait semblait lui ouvrir un chemin.
Cette première Apparition dura environ 10 minutes, et comme pour les Apparitions de l'Ange, François vit la Très Sainte Vierge mais n'entendit pas ses Paroles. Jacinthe, elle, voyait et entendait tout, mais n'osa pas parler à Notre-Dame. Seule Lucie eut le privilège de dialoguer avec Elle.
Jacinthe, oubliant sa promesse de ne rien dire à personne, en parla aussitôt à ses parents. Ces derniers interrogèrent le petit François qui confirma tout ce qu'avait raconté sa sœur. Cette révélation arriva aux oreilles de Maria, sœur de Lucie. Questionnée, la petite voyante, dut tout raconter pour ne pas mentir, et la nouvelle se sut dans tout le bourg. Ses parents ne croiront pas à ce qui se raconte, et Lucie se fera donc très sérieusement gronder ; ce qui explique que, plus tard, Jacinthe ne dira plus rien sur ce qu'elle verra.
L'information vint jusqu'aux oreilles du Curé-Prieur de Fatima, Dom Manœl Marquès Ferreira qui se montra assez perplexe et interrogea maladroitement les pastoureaux. Les petits enfants, impressionnés par l'attitude et le ton sévère du curé, ne gagnèrent pas sa confiance. Jacinthe observa même un mutisme total.
Offusqué, l'abbé durcit sa position et transmit le compte rendu de l'interrogatoire au Cardinal Belo, du diocèse de Fatima, qui suivit sa conclusion : « il faut se tenir résolument à l'écart de cela ». Dès lors, Dom Ferreira se conforme à cette directive, en se montrant très hostile aux évènements de la Cova da Iria.

L'Homme Nouveau via salonbeige:
"On y lit notamment cette révélation du père Bernard O'Connor, prêtre canadien qui travaille à la Congrégation pour les Eglises orientales et chroniqueur régulier du magazine américain Inside the Vatican, dans lequel il a raconté être allé se mêler à l'équipe d'Anges et Démons à Rome :
"Je pris la décision de m'habiller décontracté pour me mêler à eux. Beaucoup étaient contents de "souffler un peu" et de parler ouvertement autour d'un cappuccino, se figurant que je n'étais qu'un aimable touriste. Quels étaient leurs commentaires? Ceux d'une personne qui se présenta comme un "responsable de la production", furent tout à fait caractéristiques :
"Cette fichue Eglise est de nouveau contre nous et nous fait des problèmes. Certains d'entre nous sommes amis de Dan Brown (auteur du livre et producteur exécutif du film). Comme la plupart d'entre nous, il dit souvent qu'il serait prêt à tout pour détruire cette exécrable institution qu'est l'Eglise catholique. Et nous triompherons. Vous verrez."
Je fis calmement cette remarque:
"Excusez-moi, mais je ne suis pas très sûr de bien saisir votre position".
Sa réponse, appuyée par les interventions des autres présents, fut celle-ci:
"D'ici à une génération, il n'y aura plus d'Eglise catholique, au moins en Europe occidentale. Et c'est aux médias que revient en grande partie le mérite de ce décés. Nous constatons une semblable
réussite partout, et même en Amérique du Nord. Les gens ont fini par faire leur notre message: l'Eglise catholique doit être affaiblie et pour finir disparaître de la surface de la terre. Elle est l'ennemi numéro un du genre humain. Et elle l'a toujours été. Regardez ce pitoyable Pape et son prédécesseur. Tous les deux ont tenté désespérément de renverser la tendance. Mais leurs efforts se sont soldés par une catastrophe car nous sommes trop forts. Nous avons la radio, la télévision, Hollywood, l'industrie de la musique et de la vidéo, et jusqu'au moindre journal qui existe, et tout cela tient le même discours. C'est plus que ce que beaucoup d'entre nous auraient osé espérer il y a quelques années. C'est une espèce de révolution : les facultés, les universités et toute la jeunesse sont aussi de notre côté. Où que vous portiez le regard, vous voyez une Eglise en ruine. Et des ruines, c'est tout ce qu'il en restera."

Et voilà une des raisons de la perte de Foi de tant de jeunes et moins jeunes.
D'une part, une catéchèse (et encore, quand elle a été faite) superficielle, peu profonde. D'autre part, le désir, légitime, de vivre avec son temps, de se servir des outils de la technologie moderne, de voir les films, les vidéos, écouter la musique, mais sans être avertis, sans être en mesure de déceler le poison si savamment infiltré dans ces productions par des professionnels de la chose.
Comment le déceler, au moins un peu? Se renseigner. Cela veut dire : lire. Plus difficile pour les jeunes issus des méthodes modernes d'enseignement, comprendre ce qu'on lit.
Aux parents de se renseigner et de montrer aux enfants comment on leur ment, comment on fait passer par l'image, la musique, leurs mensonges.
Ce sera l'un des leviers du redressement de notre pays.

Le mensuel de la représentation en France de la commission européenne, L'Europe en France, titre ainsi son article sur le e-commerce, c'est à dire les ventes par Internet.
Entre 2006 et 2008, la proportion d'Européens ayant acheté un article sur Internet est passée de 27% à 33%. En France, plus de la moitié des internautes ont consommé en ligne l'an dernier. Mais les achats d'un Etat membre à l'autre restent limités à 7% des transactions.
Il est vrai que les consommateurs se connectant sur des sites étrangers se voient souvent refuser des ventes ou sont redirigés vers leur pays d'origine. Mais il y a aussi des difficultés liées aux systèmes postaux et de paiement, comme aussi les craintes sur le paiement, les délais de livraison, la fiabilité du service après vente.
On revient toujours au même constat : l'économie locale, étendu à la nation, est la plus fiable. Mais évidemment, ce n'est pas ce que veut l'UE.

Vu dans la Depeche hebdomadaire de nouvelles chrétiennes de l'UNEC, BP 70114, F-92510 St-Gratien
"TURQUIE. Certaines informations sont pertinentes et significatives. Un hebdomadaire italien 'people' -- Diva e donna pour ne pas le nommer -- a publié une lettre écrite depuis sa prison en Turquie par Ali Agca, l'auteur de l'attentat manqué contre le pape Jan-Paul II du 13 mai 1981 sur la place Saint-Pierre à Rome. Dans cette lettre, écrite du fond de la prison turque où il restera enfermé jusque 2010 pour le meurtre d'un journaliste turc, il affirme qu'il a "abjuré depuis le 13 mai 2007 la foi musulmane" et qu'il est "devenu un fidèle de l'Eglise Catholique Romaine". Ceci est sans doute la suite du pardon sincère du papa à Ali Agca quand il l'a visité à la prison italienne en 2003."
Ceux qui connaissent l'histoire des apparitions de la Vierge à Fatima au Portugal en 1917, auront certainement noté les dates. Le 13 mai est une date hautement significative car on a parfois vu ce qui ne pouvait être qu'intervention divine en cette date là.

Vu sur Le Post via le Salon Beige 03 mai 2009 :

"Stéphane, un habitant d'Abbeville (Somme), âgé de 29 ans, a reçu sur son téléphone portable un SMS étonnant :"Pour faire dérailler un train, t'as une solution?" Le SMS était envoyé par une vague connaissance de travail, selon Le Courrier Picard.
Mais ce SMS a été jugé "tendancieux" par la justice ... Et le jeune menuiser s'est retrouvé en garde à vue pendant 24 heures (...)
Le téléphone portable sur lequel Stéphane a reçu le fameux SMS était un appareil prêté par son opérateur de téléphonie mobile. Et le procureur de la république d'Abbeville précise :
"L'opérateur a le droit de consulter ces messages et le devoir d'alerter les autorités s'il estime qu'un crime ou un délit est susceptible d'être commis."
Et l'erreur de Stéphane c'est de ne pas avoir alerté les autorités après avoir reçu le SMS de son collègue..."
Comme le dit si bien le Salon Beige en terminant, "Qui croyait encore à la confidentialité de ses coups de téléphone, de ses textos?"

Je viens de parler avec une amie en Arizona qui est toujours très bien informée. Il paraît que les deux premiers cas de grippe étaient deux jeunes garçons de San Diego, Californie. On ne sait toujours pas exactement où cette grippe a commencée, mais au mois de mars 2009 il y avait déjà plusieurs cas, et au Mexique et en Californie.
Sanofi-aventis était peut être au courant....??

Mondialisme. Mondialisation. Nouvel ordre mondial. Tout le monde en parle. Les analystes y vont de leur couplet. B. Antony dans son éditorial de Reconquête fait la distinction entre les deux et énonce une évidence, je crois, quand il dit qu’il faut qu’il y ait un ordre, une régulation, dans le monde.Mais cela ne veut pas dire un gouvernement mondiale. Renaissance Catholique fait son Université d’été sur le thème du mondialisme, avec entre autres Ayméric Chauprade comme conférencier. (la vidéo de présentation est visible sur http://www.renaissancecatholique.org/Universite-d-ete-2009-presentation.html)
Bernard Rogeaux, (Conseiller de synthèse, EDF-R&D (Electricité de France-Recherche et développement)dans un article publié dans la revue futuribles, revue d'analyse et prospective, imagine un scénario pour les quinze années à venir, dans lequel peu à peu les violences dans le monde et la pénurie de ressources rendent nécessaires des mesures de contrôle des populations et des rationnements de ressources (surtout énergétiques) par habitant. Certains continents sont frappés par la rareté de l’eau. (Je schématise beaucoup.)
Finalement les dirigeants du monde décident qu’il faut mettre en place une gouvernance mondiale mais se rendent bien compte que cela est impossible démocratiquement.. Il met dans la bouche d’un de ces dirigeants imaginaires cette phrase tout à fait réelle : « La Commission européenne a certes été un exemple intéressant de contournement de la démocratie et une étape utile pour imposer des mesures impopulaires aux électeurs, mais il nous faut aller maintenant beaucoup plus loin ! » Le groupe félicite la Chine et dit qu’il faut l’imiter et mettre en place un régime autoritaire qui s’appuiera comme en Chine sur la force armée car cela est bien la seule issue pour pouvoir régler les problèmes.
Quant à l’Epilogue, il me paraît incroyable que quelqu’un de sérieux ait pu l’écrire. Le voici :
« Cette rencontre (imaginaire) a réellement été un point de basculement pour tous les pays du monde : le Conseil mondial a été instauré, les rationnements se sont généralisés, la paix a été rétablie dans toutes les régions, les mode de vie ont radicalement changé. Le marché a été régulé mondialement, les émissions de gaz à effet de serre ont été enfin contrôlées et réduites drastique ment. La phase autoritaire n’aura finalement duré qu’une dizaine d’années, le temps de gérer la transition et de reconstruire d’autres formes de production. Des formes de démocratie locale se sont ensuite généralisées.
(…) Progressivement les relations d’entraide ont effectivement remplacé les relations de compétition. Tout le monde a progressivement abandonné la course à la consommation, course aveugle et insensée qui a failli provoquer l’explosion mondiale et le conflit généralisé qui aurait rendu impossible toute vie sur Terre.
Les hommes sont devenus plus accueillants, plus sages, plus cultivés, plus fraternels … et plus heureux ! Certains disaient même avoir »trouvé la joie comme au comble de la fortune » (Psaume 119-14) Ils ne faisaient finalement que confirmer ce qu’avait dit René Girard en 2007 : « L’apocalypse n’annonce pas la fin du monde ; elle fonde une espérance ».

Je aurais, rapidement, deux remarques à faire,l’une mineur et l’autre majeur. La mineur : l’auteur croit vraiment que le réchauffement climatique est dû aux émissions de CO2 et à l’activité humaine. Il ne semble pas tenir compte d’un certain nombre d’études et constatations faites par des scientifiques qui sont sceptiques sur cette cause politiquement correcte du réchauffement qui sert à nous brider toujours plus.
Ensuite, et là c’est effarant, l’auteur dans son épilogue semble ignorer tout de la nature humaine. Il admet, quand il pense qu’il faudra la force armée dictatoriale pour forcer les populations à obéir aux injonctions impopulaires de la gouvernance mondiale, que c’est la seule façon d’être sûr de pouvoir instaurer et faire perdurer la dictature mondialiste. Mais par la suite dans son Epilogue il semble penser vraiment que « tout le monde il est beau tout le monde il est gentil ». Voyez-vous cela ! La période dictatoriale ne durera que dix ans (les chefs du gouvernement mondial vont gentiment s’effacer) ; les hommes vont se mettre à s’entraider au lieu de se battre pour survivre chacun pour soi ; c’est la démocratie locale et non pas des fiefs de caïds locaux qui s’instaurera. Les hommes tout seuls, par eux-mêmes, seront devenus « plus accueillants, plus sages, plus cultivés, plus fraternels ». Ils pourront trouver « la joie comme au comble de la fortune » tout en vivant sous la dictature mondiale.
Vous y croyez, vous ?

Un ami m'envoie un communiqué de presse paru dans la revue de Sanofi-aventis le 9 mars de cette année.
Sanofi-aventis annonce la signature d'un contrat avec les autorités mexicaines pour la construction d'une usine de production de vaccin contre la grippe, représentant un investissement de cent millions d'euros. L'annonce a été faite au cours d'une cérémonie en présence du président du Mexique et du président français en visite officielle au Mexique.
"Avec la construction de cette usine, sanofi-aventis est fier de contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner l'engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la pandémie", a déclaré Chris Viehbacher. "Cet investissement démontre l'engagement locale de sanofi-aventis pour la santé mondiale. Cette usine constituera un atout de santé publique, pour les Mexicains ainsi que pour l'Amérique latine, dans le cadre de la préparation à la pandémie grippale."
Sanofi prévoyait de débuter la construction de l'usine dans "quelques semaines", et prévoyait de produire jusqu'à 25 millions de doses annuelles de vaccin contre la grippe saisonnière pour le marché mexicain d'ici à quatre ans.
La nouvelle usine sera construite de façon à pouvoir basculer aisément de la production de vaccin contre la grippe saisonnière à celle de vaccin contre la grippe pandémique, dans l'éventualité où une pandémie de grippe humaine viendrait à être déclaré et une fois la souche de virus grippal pandémique identifiée par l'OMS.
Les phrases en gras le sont par mes soins.