lundi, février 21, 2011

 

Affaire Cassez vu par A.Chauprade

Il y a quelque temps, j'avais mis sur ce blog des informations trouvé sur le site Sed Contra, donnant les dépositions de quelques victimes de la bande criminelle à laquelle Florence Cassez était associée. Certains lecteurs m'ont envoyé des commentaires offusqués, persuadés que le système judiciaire méxicain etait corrompu et peu fiable. Trop facile à dire, à mon avis.
Voici maintenant, du site Polemia (cliquez sur titre) via le Salon Beige:


La diplomatie est devenue émotionnelle comme la politiqueAymeric Chauprade se désole :
"L’instrumentalisation du sentiment s’est désormais complètement substituée, dans tous les domaines (sécurité, justice, économie…), à la vraie politique, laquelle consisterait à traiter en profondeur la racine des problèmes. Nos gouvernants ne savent plus que larmoyer, devant des micros, tout en s’agrippant aux caméras des familles de victimes. [...]
Contrairement aux partis dominants qui, à l’unisson, semblent vouloir faire de Florence Cassez un nouveau Dreyfus, nous ne voulons pas être définitifs sur cette affaire. La reconstitution spectaculaire devant les caméras de la télévision mexicaine, au lendemain de l’arrestation, en 2005, obéissait sans doute à une volonté de la part du gouvernement mexicain de médiatiser son action de répression de ce qui est un véritable fléau au Mexique : les enlèvements de personnes privées avec demande de rançon et mutilations. N’oublions pas que le président mexicain est confronté à des gangs criminels et des cartels qui, depuis 2006, ont fait plus de 30.000 morts dans ses forces de sécurité. Il s’agit d’une véritable guerre, et c’est la raison pour laquelle le petit caprice émotionnel du Tout-Paris n’impressionne guère les Mexicains. Il n’en demeure pas moins que cette reconstitution a contribué à ternir la procédure judiciaire mexicaine ; mais il faut raison garder : elle ne doit pas en effacer le contenu.
La vérité, c’est que le Mexique, grand pays membre de l’ALENA, et puissance importante de l’Amérique latine, dispose d’un vrai système judiciaire, et que les faits sont accablants pour Florence Cassez. Les témoignages sont là, et il est difficile par ailleurs (simple remarque de bon sens) de faire croire que Florence Cassez ait pu vivre pendant autant de temps dans un ranch où s’activaient une bande de tueurs, avec des armes et des munitions partout, des otages cachés et souvent torturés, ceci sans n’avoir jamais rien remarqué ! [...]
Cette affaire me fait penser à celle des deux Françaises, Sarah Zaknoun et Cécile Faye, emprisonnées en 2008 en République dominicaine pour trafic de drogue, et graciées en décembre 2009 par le président dominicain à la suite d’une campagne médiatique puis politique, depuis Paris. Je suis personnellement bien placé pour savoir que dans cette affaire, le même impératif médiatique et émotionnel faisait office de politique et écrasait le fond du dossier. Heureusement pour les deux gentilles « vacancières », le président dominicain voulait faire plaisir à la France et à son président. Mais la justice dominicaine n’avait pourtant pas été prise d’hallucination collective, pas plus que celle du Mexique et des victimes qui ont témoigné ! [...]
Je pense aussi à l’affaire Cesare Battisti, ce terroriste italien d’extrême gauche, que les médias français s’étaient mis en tête de faire libérer, au mépris de la justice italienne et des relations avec ce pays ami. On y a retrouvé les traditionnelles leçons de morale françaises, le mépris pour nos voisins et amis, le déni de justice et de souveraineté d’un partenaire de l’Union européenne. Je pense aussi à la gestion de l’affaire Bétancourt (la première, celle d’Ingrid), qui fut lamentable pour nos relations avec la Colombie.
Nous avons tout faux dans ces affaires ! [...] nous affichons devant le monde entier une arrogance sans nom, un mépris pour la justice et la souveraineté de ces pays, comme si d’ailleurs notre justice et notre démocratie étaient exemplaires ! [...] Cette politique émotionnelle, «du coup médiatique», qui contamine jusqu’à notre politique étrangère, est devenue absolument insupportable ; elle finira d’ailleurs par se montrer contre-productive pour ceux qui en usent. Car si les Français ont des émotions et peuvent tomber dans ce genre de piège, ils comprennent par ailleurs de plus en plus que le pays est gouverné dans l’instant, sans vision stratégique, et que sa tête se pose de moins en moins la question du Bien commun."
Michel Janva

dimanche, février 20, 2011

 

La stratégie des musulmans dans les entreprises

via le Salon Beige poste redigé par Michel Janva:(pour voir la source cliquez sur le titre sousligné du message)

Eric Denécé, Directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), a écrit un article intitulé La poussée islamiste dans les entreprises, dans la revue Sécurité Globale. On y lit :
"La pression islamiste s’exerce désormais dans les entreprises, principalement selon deux modalités : le prosélytisme militant et contestataire et le développement de trafics susceptibles d’alimenter la cause du djihad. Cette poussée fondamentaliste dans les entreprises génère de nouveaux risques sectaires et criminels, en particulier pour celles qui sont implantées dans les zones urbaines et périurbaines. [...] Selon Yves Bertrand, ancien directeur des Renseignements généraux, «le monde du travail est désormais visé, avec, comme cibles, certaines catégories de personnel. Il s’agit évidemment des plus modestes, comme les caissières, les manutentionnaires ou les chauffeurs livreurs». La stratégie comprend trois étapes : d’abord le prosélytisme religieux ; puis la prise de contrôle de la communauté musulmane au sein de l’entreprise ; enfin la remise en question des règles de fonctionnement de celle-ci pour imposer les valeurs islamiques. La tactique est partout la même. Les islamistes formulent d’abord des demandes pouvant apparaître comme « légitimes » :
· création de salles de prières sur les lieux de travail,
· adaptation des pauses quotidiennes pour permettre la pratique religieuse,
· aménagement du temps de travail lors du Ramadan ou pour pouvoir disposer du vendredi comme jour chômé,
· respect des interdits alimentaires dans les restaurants d’entreprise.
[...] Si ces premières démarches n’ont pas provoqué de réaction frontale de la direction ou des autres salariés, les islamistes passent alors à l’action plus ouverte et aux pressions :
· prosélytisme religieux actif sur le lieu de travail,
· rejet de certains produits (vin, porc) dans les restaurants d’entreprise lorsque la majorité des employés sont musulmans,
· pressions sur les femmes pour le port du voile,
· refus de certains salariés musulmans de reconnaître l’autorité de cadres quand il s’agit de femmes,
· souhait de voir certaines fêtes religieuses islamiques chômées,
· prise de contrôle de certaines filières de recrutement au sein de l’entreprise. [...]
Les sociétés de sécurité sont également une cible privilégiée pour les islamistes. Deux raisons à cela : tout d’abord, le faible niveau de qualification demandé pour les tâches de gardiennage permet aux immigrés sans diplôme d’y trouver un débouché ; d’autre part, en raison de l’Affirmative Action qui a fait son chemin en France, les entreprises de sécurité se doivent de recruter en priorité des individus issus des minorités (« beurs et blacks ») afin que leurs agents de sécurité ne se fassent pas taxer de racisme lors des contrôles. En conséquence, certaines sociétés de sécurité sont complètement infiltrées par des islamistes ou des réseaux de délinquants liés à l’immigration. Ce "contrôle" du recrutement leur permet de trouver un emploi aux membres de leur réseau – souvent sous une fausse identité – de prétendre au chômage, voire d’approcher des sites sensibles (aéroports notamment). [...]
Parallèlement à ces risques de type sectaire, on observe la multiplication de pratiques criminelles dans l’enceinte des entreprises. [...] Dans ce contexte, les entreprises – notamment la grande distribution et le transport – leurs locaux et bien sûr les salariés sont à la fois théâtres et enjeux des pratiques criminelles. [...] De nombreux hypermarchés observent que les employés les plus engagés dans le prosélytisme islamique cherchent systématiquement à occuper les postes qui se situent à des interfaces : standard téléphonique, chauffeurs livreurs, coursiers, caissières (passage obligé), sécurité ; autant de fonctions qui permettent des échanges d’informations, d’argent et de marchandises (surveillance, trafics, détournement, etc.).
Enfin, on constate l’accroissement des abus et escroqueries à l’encontre de l’entreprise et des Assedic. Après avoir été embauchés et avoir travaillé pendant quelques mois en hypermarché, de nombreux individus multiplient les absences injustifiées et finissent par abandonner leur poste. Le magasin ne pouvant fonctionner durablement en sous-effectif se voit contraint de les licencier pour faute grave. Mais la législation leur accorde le chômage Ainsi, ces individus font venir leur famille en France ou retournent vivre au pays grâce aux Assedic."

vendredi, février 18, 2011

 

invasion halal

On apprend maintenant que toute la viande de poulet vendu chez KFC (Kentucky Fried Chicken) est certifiée "halal" par la Grand Mosquée de Paris, et ce, depuis 19 ans!
C'est à dire que, à leur insu, tous les clients du KFC depuis presque deux décennies financent l'islam en France.
Financent les mosquées, qui sont considérées par les musulmans comme "terre d'islam", mosquées qui echappent à tout contrôle et ou certains imams prèchent la haine de la France et la mise à mort de tout "infidel".

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