mardi, avril 27, 2010

 

Toujours l'insupportable désinformation sur l'Algérie

Vu dans Le Salon Beige
"Hors-la-loi", un film de désinformation sur la guerre d'Algérie
Lu dans Minute :
"Lionnel Luca s’inquiète du contenu du film de Rachid Bouchareb, et demande à Hubert Falco, secrétaire d’Etat aux Anciens combattants, de vérifier si Hors-la-loi, dont la tête d’affiche est Jamel Debbouze, mérite d’être financé par l’argent public français [à hauteur de 7% - le CNC n'ayant même pas lu le scénario] et même de faire partie de la sélection officielle du festival de Cannes. Ce dernier demande une analyse du scénario au Service historique de la Défense (SHD). Bilan : les historiens militaires dénoncent un scénario «parsemé d’erreurs et d’anachronismes» et «d’invraisemblances parfois grossières».
Prenons, par exemple, les émeutes de Sétif, le 8 mai 1945. Le réalisateur veut faire avaler au spectateur que des Européens ont gratuitement et spontanément massacré des milliers d’Algériens. «Or, dit le SHD, c’est le contraire qui s’est produit […]. Cette version des faits est admise par tous les historiens, l’auteur commet donc une grossière erreur en montrant des Européens tirant sur des musulmans depuis leurs fenêtres. Si l’auteur souhaite évoquer le massacre de musulmans par des Européens à Sétif, il devrait situer sa scène au minimum le 9 mai, car c’est en réaction au massacre d’Européens du 8 que les Européens ont agi contre des musulmans.»
Même ignorance concernant les partis indépendantistes algériens – ce qui est tout de même un comble pour un partisan du FLN ! En page 10 du scénario, au lendemain des émeutes de Sétif, Bouchareb demande à ses acteurs de hurler « Vive le FLN ! », alors que ce parti ne sera créé que pratiquement dix ans plus tard, en 1954 ! Commentaire perplexe de l’historien du SHD, abasourdi par tant de vide : «L’auteur confond peut-être avec le PPA de Messali Hadj, dont il semble cependant ignorer l’existence»…
Même ignorance, voire malveillance, en ce qui concerne la guerre d’Indochine [...] présentée «comme une suite d’exactions perpétrées par l’armée française». Le héros du film, tirailleur nord-africain, n’aurait toujours pas, après dix-neuf ans de service, atteint un grade de sous-officier alors qu’il a notamment accompli deux séjours en Indochine. Normal, d’un certain point de vue, puisque tout le film laisse penser «qu’il aurait été abandonné par l’armée française après sa captivité». On vous épargne la revue de détails concernant les anachronismes sur le général De Gaulle que Bouchareb remet au pouvoir dès 1954, alors qu’il n’y reviendra qu’en 1958 à la suite… du putsch d’Alger ! [...]
Finalement, le général de division Gilles Robert, directeur du SHD, estime que «les nombreuses invraisemblances présentes dans le scénario montrent que la rédaction de ce dernier n’a pas été précédée par une étude historique sérieuse. Cette approximation historique rend ce film de fiction peu crédible». Le SHD «déconseille le financement public d’un tel film»."

dimanche, avril 25, 2010

 

aux Etats Unis aussi, mais....

Le 6 mai 2010 il y aura une réunion oecuménique de prière en liaison avec la Journée Nationale de Prière aux Etats-Unis. Franklin Graham, fils du très connu prêcheur évangéliste Billy Graham, et prêcheur lui-même, a vu son invitation à cet événement retiré. Parce que ses remarques sur l’islam n’étaient pas « appropriés », et pourraient offenser les musulmans.
Car non seulement Franklin Graham a dit que l’islam était mauvais (dans le sens de « inique ») lors des attaques terroristes en 2001, mais plus récemment il a ajouté qu’il trouve l’islam « offensant » et il veut que les musulmans sachent que le Christ est mort pour eux aussi.
La American Family Association est l’une des associations qui, comme un des sénateurs, se sont plaints au gouvernement de la des-invitation au Pentagon de Graham car, disent-ils, le Pentagon entrave sérieusement son droit constitutionnel américain de liberté d’expression. Puis, son président Bryan Fischer y va lui aussi de son analyse de l’islam dans ses points en contradiction avec le christianisme, entre autres : « l’appel dans le Coran à tuer les « infidèles » ; « des actes documentés avérés, de pédophilie par le fondateur de l’islam, Mohammed » ; « l’intolérance de l’islam de la conversion à d’autres religions » ; le « sexisme flagrante et mortel »
Tandis que Tony Perkins, president de la Family Research Council, a été lui aussi « des-invité » d’une réunion lors d’un événement de l’Armée de l’Air, après avoir critiqué la déclaration du président Obama qui voulait lever l’interdiction faite aux homosexuels de servir dans l’armée. Il remarque qu’aux Etats-Unis ils n’ont pas (encore) des lois semblables aux lois européennes contre les discriminations concernant les homosexuels, mais il observe que le politiquement correcte est aussi efficace, et que les islamistes opèrent tout comme les militants homosexuels, « qui crient et jouent le rôle de la victime, et utilisent des lois spéciales pour se protéger. »
La différence avec la France, c'est qu'aux Etats Unis la liste de personnalités et d'associations qui protestent vigoureusement contre cet état de choses, ne cesse de s'allonger. Dans les pays anglo-saxons il existe un très fort sentiment de la liberté d'expression. Malheureusement, chez nous cette liberté sert uniquement aux "artistes" contemporains et à la pornocratie. Pas aux autres.

jeudi, avril 22, 2010

 

Un autre rapatriement

PRESENT du 22 avril nous apprend qu'il y a quelques mois, les trois évêques d'Algérie ont rapatrié d'urgence toutes les archives de catholicité d'Algérie: baptêmes, confirmations, mariages, obsèques.
Parce que d'une part Bouteflika a donné l'ordre d'effacer toute trace du "colonialisme chrétien", et parce que la saisie desdites archives par le gouvernement algérien aurait permis aux autorités de connaître le nom de musulmans convertis au christianisme ces dernières années.
Pour ce qui est d'éradiquer toute trace du christianisme, il faudra que Bouteflika remonte à l'époque romaine. Au IIIe siècle, on comptait plus de cinquante évêchés. C'était avant que les Arabes ne colonisent l'Afrique du Nord et les Berberes qui y habitaient. Mais, après tout, d'accord. Disons que Bouteflika veut ramener le territoire maintenant connu comme Algérie, à l'état où il était en 1830, quand les Français sont arrivés pour délivrer la Méditerranée des barbaresques qui pillaient les côtes et les navires. Un grand seigneur, Bachaga Boualam, lui a laissé une description assez détaillée pour que Bouteflika puisse s'y mettre :
"Quand les Français débarquèrent sur nos côtes, le mot Algérien n'existait pas. Notre histoire commence en 1845 comme celle de la France en tant que peuple, a commencé avec les Capétiens. (...)
En 1830, cette terre d'Afrique du Nord, c'est le chaos, deux millions d'esclaves rançonnés par les pillards ou les féodaux, rongés par la syphilis, le trachome, le choléra, la malaria ; des déserts, des marais pestilentiels, plus rien de ce qui avait été la paix romaine."
(dans son livre Mon Pays la France, cité par le Col. Moinet dans ses livres et cassettes.)
D'après ce que j'ai pu savoir, l'état de l'Algérie se rapprocherait de plus en plus à ce qu'elle était avant que les Français arrivent. Bouteflika y travaille.

 

"Les infiltrés"

Vu dans PRESENT 22 avril, un article qui nous informe de la manipulation montée contre une école catholique traditionaliste à Bordeaux en vue de l'émission de David Pujadas "Les infiltrés" intitulée "A l'extrême droite du père" et prévue sur France 2 mardi 27 avril.
Un "journaliste d'investigation" envoyé par Capa Télévision, Mathieu Maye, s'est introduit dans l'école en se faisant passer pour un catéchumène et en proposant ses services bénévoles pour surveiller l'étude à la fin des cours. Il a profité de ce qu'il avait chaque soir plusieurs collégiens en étude, et il s'est mis à tenir des discours un peu plus racistes chaque soir et à raconter des blagues racistes et antisémites, dans le but de pousser les adolescents présents à en rajouter pour se faire bien voir du surveillant. Et quand les garçons ont commencé à en raconter aussi, il les a filmés en caméra cachée pour son reportage...
Seulement voilà. Quinze premières familles représentant 36 enfants mineurs ont porté plainte contre David Pujadas, France 2, Mathieu Maye et l'agence Capa sur le fondement de l'article 227-21 du nouveau Code pénal qui dispose que "le fait de provoquer directement un mineur à commettre un crime ou un délit est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende". Et lorsqu'il s'agit d'un mineur de quinze ans et que les faits sont commis dans les établissements d'enseignement, l'amende reste la même, mais l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement.
Les instigateurs de cette manipulation contre le catholicisme et contre la droite nationale voulaient faire un esclandre. Ils ont réussi. Espérons que certains auront le temps de méditer longuement, en prison.

lundi, avril 19, 2010

 

pagaille gouvernementale ou rideau de fumée

Vu dans le Salon Beige
"La disparité des chiffres de l'immigration
L'Observatoire du Parlement relève la diversité des chiffres du solde migratoire pour l'année 1997, extraits du livre "Les yeux grands fermés" de la démographe Michèle Tribalat:

61 929 pour le ministère de l’intérieur,
65 750 pour l’Insee,
73 677 pour l’Omi,
91 798 pour le HCI
102 417 pour le ministère de l’emploi
142 944 pour Xavier Thierry à l’Ined !

Directrice de recherche à l’Institut national des études démographiques, et spécialiste de l'immigration, l'auteur dresse un bilan détaillé de la démographie de la population d'origine étrangère depuis les années 60:

En 1999, en France, 14 millions de personnes étaient d’origine étrangère soit un quart de la population pour majorité originaires d’Europe du sud (5,2 millions) contre 3 millions d’origine maghrébine.
En Ile de France, la proportion des populations d’origine étrangère est passée de 16% à 37% entre 1968 et 2005.
A Blois, un tiers des jeunes sont d'origine étrangère, alors qu'ils n'étaient qu'un sur vingt à la fin des années 60 ; à Grigny, dans l'Essonne, 31 % des jeunes sont d'origine subsaharienne, soit trois fois plus qu'en 1990, ce qui constitue le record de France."

dimanche, avril 18, 2010

 

communiqué de Carl Lang

En attaquant le cardinal Bertone, qui rappelait le lien entre l'homosexualité et la pédophilie, le ministre des affaires étrangères, monsieur Kouchner, engage le gouvernement français dans la formidable campagne médiatique de diffamation lancée contre l'Eglise catholique. Cette campagne de haine est d'autant plus scandaleuse qu'elle est relayée par des médias qui, en 1977 avaient publié une pétition, signée notamment par monsieur Kouchner, demandant la libération de trois détenus pédophiles. La classe politico-médiatique aujourd'hui au pouvoir qui, à l'instar de l'actuel ministre de la culture, monsieur Mitterrand, défendait l'année dernière le cinéaste Polanski, ajoute la tartufferie à l'immoralisme. Aucune institution, religieuse ou laïque, n'est à l'abri de quelques pervers. Les dirigeants de l'Eglise les sanctionnent et les livrent à la justice. Que font en revanche dans ce domaine des institutions comme l'actuel gouvernement ou comme le ministère de l'éducation nationale, dirigé depuis des décennies par les syndicats de gauche ? Rappelant le rôle essentiel joué par l'Eglise dans la défense de la dignité humaine contre les idéologies totalitaires et dans la construction de l'identité spirituelle de la France, Le Parti de la France dénonce cette campagne subversive et antichrétienne dont les motivations réelles sont évidemment politiques

 

erreur

Dans mon dernier poste, j'ai par erreur nommé Bernard Kouchner comme ayant fait la déclaration du Quai d'Orsay critiquant le commentaire du Cardinal Tarcisio Bertone. En fait, il s'agit de Bernard Valéro, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, qui a dit "Il s'agit d'un amalgame inacceptable que nous condamnons." "La France rappelle son engagement résolu dans la lutte contre les discriminations et les préjugés liés à l'orientation sexuelle et l'identité de genre." (vu dans PRESENT du 16 avril)
Il est clair que la France par ses gouvernants et son "établissement", ses apparatchiks et ses média, sans parler de tous ces "idiots utiles" qui se croient si à la page, est en première ligne pour promouvoir l'homosexualité et cette loi du "genre" qui stipule qu'on ne nait pas garçon ou fille, mais qu'on devient d'un sexe ou l'autre selon l'orientation que l'on ressent en grandissant. En fait, ils voient plusieurs options: homme, femme, homosexuel masculin, lesbienne, trans, ou indécis donc, je suppose, neutre. Oui, c'est cela dont la France se fait le champion dans les instances internationales (présentation d'un texte à l'Assemblée générale des Nations unies).C'est cela qu'on transmet aux enfants dans les écoles par le biais des associations qui sont invitées dans les écoles et qui arrivent, avec leurs "kits" à distribuer.
Cela explique entre autre la peine minimale prononcée contre le général cinq étoiles Germanos, coupable d'avoir enregistré sur son ordinateur des milliers d'images pédophiles. Marine Le Pen a très justement réagi dans un communiqué que je cite en partie : "Cette peine est d'une scandaleuse légèreté: Dix mois de prison avec sursis pour avoir notamment téléchargé des images ignobles de bébés de six mois subissant des actes inqualifiables, c'est en vérité une approbation par la justice de la conduite abjecte du sieur Germanos."
Barbares, les sociétés qui ont maintenu la peine de mort??

vendredi, avril 16, 2010

 

toujours la même chose

A ceux qui me font l 'honneur de me lire, pardon d'avoir laissé tant de jours passer sans commentaire. Il me semble que nous sommes sous un barrage de ce qu'on appelle 'informations" qui sont en fait (comme d'habitude mais encore plus flagrantes ces temps-ci)des mensonges.
Par exemple, les attaques contre l'Eglise, contre le Pape, contre les prêtres. Nous sommes habitués à ces attaques contre tout ce qui est catholique. Mais les mensonges proférés contre le Pape continuent, même si la vérité est proclamée par le Vatican et par toute la presse et les sites catholiques et/ou honnêtes.
Que le gouvernement français se soit ridiculisé par la déclaration de Bernard Kouchner au nom du Quai d'Orsay (!), disant que l'affirmation du Cardinal Bertone (selon laquelle la pédophilie, selon plusieurs psychologues et psychiatres, n'était pas en relation avec le célibat mais bien avec l'homosexualité,) était inacceptable pour le gouvernement français, ne nous surprend pas. La France s'est acquis la réputation d'un pays d'homosexuels, avec les déclarations pro-Polanski, pro-Mitterand, et ses étudiants parisiens qui se réfèrent au Conseil d'État comme "le Conseil des tatas".
Par exemple encore, la "mayonnaise" montée autour d'Eric Zemmour, qui ne dit pas autre chose que ce que la presse tendance nationale dit tous les jours. Mais là où l'établissement si politiquement correcte peux imposer un "black-out" sur la presse de vraie droite, elle ne peut pas l'imposer au Figaro. Puis, finalement, ils ont décidé de garder M. Zemmour, journaliste de talent et de courage, car ils savent bien qu'il sert de hameçon pour les lecteurs de droite, qui ainsi achèteront le Figaro en croyant qu'il s'agit d'un journal de droite.
Vous voyez - tojours la même chose. Le mensonge et la manipulation des populations.

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