A vrai dire

Nous fêtons ces jours-ci la venue du Saint Esprit, troisième personne de la Sainte Trinité, flamme, Amour, Consolation, Vie. Touche finale et magnifique de cette incroyable Révélation : Dieu dans sa vie intime est Trinité, dynamique constante et éternelle d’Amour.
Alors que la France, l’Europe et en fait le monde entier sont confrontés à une poussée conquérante de l’islam, il n’est peut être pas inutile de bien examiner ce que chacun veut dire quand il dit « Dieu ».
Or, nous sommes inondés d’articles, conférences, livres, sur la question. Malheureusement, ces articles, conférences, etc., sont souvent l’œuvre de gens bien intentionnés mais qui ne possèdent pas les compétences nécessaires pour traiter une telle question. Car il ne suffit pas d’être sociologue, ou historien, ou politologue. Ni d’avoir lu le Coran et d’avoir des amis musulmans. Pour présenter la doctrine catholique sur Dieu il faut un théologien catholique, tout comme pour présenter la doctrine musulmane sur Dieu il faut un islamologue ayant étudié sérieusement l’islam, parlant l'arabe et connaissant bien les textes, le droit et les lois islamiques. Les commentaires que je ferai sont basés sur le livre du père François Jourdan, prêtre eudiste, qui est qualifié en tant que théologien catholique et en tant qu’islamologue, pour faire des comparaisons. (Dieu des chrétiens dieu des musulmans, Editions de l’œuvre, Paris)
Quelques citations, données par le père Jourdan. Toutes émanent des personnes éminemment qualifiées en la matière.(Les mots en gras le sont par mes soins.)
Père Jacques Jomier, citant son maître Massignon à propos de la foi de chrétiens et des musulmans : « Leur conception de ce Dieu unique est si différente qu’il est difficile de dire que c’est vraiment du même Dieu qu’ils parlent. »
Le pape JEAN Paul II réagissait face à « un Dieu qui est seulement Majesté et jamais Emmanuel, Dieu-avec-nous. L’islam n’est pas une religion de rédemption. (…) C’est pourquoi non seulement la théologie mais encore l’anthropologie de l’islam sont très éloignées de celles du christianisme. »
Roger Arnaldez (islamologue membre de l’Académie des sciences morales et politiques) : « Le Dieu du Coran n’est absolument pas le même que celui du christianisme ».
Père François Varillon : « Il n’est même pas possible d’identifier le Dieu créateur de Mahomet et le Dieu créateur de Jésus-Christ […] Le Dieu de l’islam n’est pas le Dieu du christianisme […] Le musulman est devant Dieu, le chrétien est en Dieu. »(Il s’agit de la communion à la vie divine proposée à tous les hommes par le Christ, chemin vers le Père. Le chrétien est aussi, mais autrement, devant Dieu.)
Mgr Pierre Claverie distinguait les deux attitudes typiques de l’islam et du christianisme : « Adore-moi, je suis l’Unique » et « Ne crains pas, je t’aime. »
Le père Jourdan continue : « Ainsi, la vision chrétienne de Dieu n’est pas la même que celle de l’islam. (…) La Trinité chez les chrétiens est liée à une cohérence dans laquelle Dieu est sauveur, amour, et fait alliance avec les hommes ; il a un dessein de salut pour tous, par lui nous pouvons entrer dans son Cœur, ouvert à tous les hommes. Cette conception est choquante pour l’islam, car Dieu y est d’une transcendance ombrageuse, et un tuteur surplombant tout ce qui n’est pas lui, radicalement séparé de toute créature et attendant de l’homme qu’il se rende à lui : c’est le sens du mot arabe muslîm traduit par « musulman » ou « soumis ».
Donc, quand nous disons que nous avons le même Dieu, « même » est valable seulement du champ sémantique du mot, au sens de « unique » : l’unicité divine. Mais il n’est pas valable pour l’autre partie du champ sémantique, au sens de « identique » : en ce sens, nous n’avons pas le « même » Dieu. » (pp. 32,33 op.cit.)
En résumé, le Dieu de l’islam n’est pas un Dieu Rédempteur, il n’est pas le Dieu de la Bible, qui fait alliance avec les hommes, il n’est pas le Dieu révélé par le Christ qui, lui, veut partager sa divinité avec nous.

Nous sommes tous bien d'accord : œuvrer pour la sécurité routière est une bonne chose. Nous sommes moins d'accord sur les moyens à mettre en œuvre.
La Ligue de Défense des Conducteurs donne quelques chiffres :
- Les radars ont taxé les Français de près d'un milliard d'euros en quatre ans, dont près de 500 millions en 2008. 2500 nouveaux appareils, fixes et mobiles, sont prévus pour les cinq ans à venir, ce qui doublera encore PV et retraits de points.
- Chaque jour, 500 permis de conduire sont retirés. En un an, 60 000 personnes ont perdu leur emploi à cause de la suppression de leur permis.
- 79% des excès de vitesse concernent des dépassements de moins de 20km/heure. Ils sont sanctionnées par la double peine : retrait de points et amende.
- On retire 3 points à un conducteur qui a oublié de mettre sa ceinture de sécurité.
- Puis, saviez vous que les recettes des amendes de circulation servent à hauteur de 50 millions d'euros - soit 735 000 PV pour petit excès de vitesse - à financer l'Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances?

v Quand je suis arrivée en France en 1964, je m’étonnais de constater que les personnes âgées ne voulaient surtout pas aller à l’hôpital. Naïvement, je croyais qu’ils avaient tort de tout faire pour éviter un séjour à l’hôpital.
Depuis, j’ai compris. Et maintenant, l’article de Jean Michel Beaussant dans L’Homme Nouveau (22 mai) nous donne quelques chiffres.
Les « évènements indésirables graves » (EIG) liés aux soins (plus de 400 évitables par jour) sont des évènements qui ont un impact pour le patient : de l’hospitalisation prolongée de plus d’un jour, aux séquelles et à la mort. Entre 350 000 et 460 000 EIG se produisent pendant une hospitalisation chaque année, dont 120 000 à 190 000 évitables, selon une étude de 2005.
« 85% des problèmes posés dans les accidents sont dus à des problèmes d’organisation, ce qui n’est pas acceptable », constatait en 2009 Jean-Paul Delevoye, médiateur de la République.
« Le système actuel ne permet pas d’optimiser les choses : 10 000 morts évitables par an à l’hôpital, c’est plus que les décès dus aux accidents de voiture. Ce qu’on a fait pour la sécurité routière, on peut le faire pour les accidents à l’hôpital. », selon Philippe Juvin, secrétaire national de l’UMP chargé de la santé et chef des urgences à l’hôpital Beaujon.
Quant à l’association le « Lien d’aide aux victimes d’infections nosocomiales et d’accidents médicaux », elle estime, d’après les données de l’Organisation Mondiale de la Santé, que « plus de 30 000 patients décèdent chaque année en silence d’accidents médicaux en France » (7000 par infection nosocomiale et 12 000 par accident médicamenteux), soit « l’équivalent de la perte de deux Boeing 747 par semaine ».

Dans mon dernier message, j'ai mis l'accent sur la nécessaire mentalité de combattant qu'il faut acquérir si l'on veut réagir contre la destruction programmée de ce que nous sommes. Car il ne s'agit pas uniquement de nos nations, mais de notre être dans ce qu'il a de plus précieux.
La destruction de la nation entraine l'élimination des traditions qui par leur existence même renforcent une façon de vivre enraciné dans le christianisme. En même temps, le gouvernement, servi par les média, légifère contre tout ce qui est l'ordre naturel, avec comme résultat la destruction de la famille. La somme de souffrance causée par les apprentis sorciers qui nous "gouvernent" est immense, et a laissé notre pays avec une population blessée psychologiquement comme les populations qui vivent une guerre. Je pense à la souffrance de tous ces jeunes qui ont cru en la "libération" sexuelle et qui se sont trouvés meurtris à jamais; aux 40% de femmes françaises qui ont avorté et à qui on dit que "ce n'était rien"; aux enfants de plus en plus exposés aux viols grâce à la pornographie ambiante et, oui, disons le, aux familles "recomposées".
Ajoutez à cela la désinformation continuelle, la télévision de plus en plus abrutissante, la publicité perpétuelle poussant à consommer toujours plus, l'idéologie de gauche poussant la population à réclamer toujours plus.
Surtout, ajoutez à cela la volonté de formater la jeunesse par l'utilisation des méthodes d'enseignement qui vont à l'encontre du fonctionnement normal du cerveau humain. La jeunesse française, à quelques exceptions près, ne sait plus lire, ni écrire, ni compter et surtout, elle ne sait pas raisonner. La République a réussi à produire une masse manipulable et corvéable à merci.
Donc - première nécessité : se forger une mentalité de combattant, de résistant. Se former, s'instruire, s'efforcer de vivre selon les Dix Commandements, qui ne sont que l'énoncé le plus succinct de la loi naturelle.
Et puis, s'engager dans la lutte politique, car en république toute est politique. Se renseigner, et pour le moins, voter pour le parti qui est le mieux à même de défendre la France.
Si on attend le parti parfait, on attendra longtemps. Pour le moment, il me semble que le parti le plus apte à défendre mes convictions, c'est le Front National. En attendant un vrai front des nationaux. Mais quand la maison prend feu de toute part, on prend les pompiers qui sont là. Pour le moment, le premier parti en France est celui des abstentionnistes. Qu'attendent-t-ils?

Dans l’observatoire du parlement via le salon beige, on apprend que "le premier Ministre François Fillon a annoncé un gel en valeur des dépenses de l’Etat sur trois ans, une baisse de 10% des dépenses de fonctionnement (entre 800 et 900 millions d’euros) et 5 milliards d’économies sur les niches fiscales. Le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux est en outre confirmé. L’objectif est de ramener le déficit de 8% du PIB en 2010, à 6% en 2011, 4,6% en 2012, et 3% en 2013, soit 95 milliards d’économies en trois ans.
« trou Or l’immigration extra-européenne coûte à elle seule 36 milliards d’euros par an à la France !(36 000 millions donc, par an, quatre fois l’économie de baisse des dépenses de fonctionnement sur trois ans).
En France, selon Yves-Marie Laulan, il ressort, pour l’immigration et l’intégration, toutes catégories de dépenses confondues : scolarité, logement, lutte contre la délinquance juvénile et maintien de la sécurité, chômage et santé, aides sociales, etc., un coût net (différence dépenses – recettes) de 24 milliards d’euros pour ce qui concerne l’immigration et de 12 milliards d’euros pour l’intégration. Loin d’être une chance pour la France, cette immigration est une immigration de chômage et de précarité. 40% des étrangers qui arrivent en France s’inscrivent à l’ANPE.
Selon le Président Sarkozy, « 7% seulement de l’immigration en France aujourd’hui, est une immigration de travail ».
Les Français doivent donc payer pour la santé de populations d’origine extra-européenne clandestines ou non qui représentent à terme un danger pour leur identité et leur sécurité alors qu’ils n’arrivent même pas à boucler le budget de la sécurité sociale, en raison du vieillissement de la population et de la prise en charge des longues maladies à 100% que l’on commence à vouloir remettre en question. (…)
Le chiffre minimum de 36 milliards d’euros du coût annuel de l’immigration extra-européenne en France pourrait même être, selon d’autres estimations, beaucoup plus important ! Ce chiffre minimum représente 80% du déficit public, plusieurs fois le » de la Sécurité sociale, 90% du budget de la défense nationale…"
Ces chiffres ne surprennent pas ceux qui suivent depuis des années les études publiées par la droite nationale. Ce qu’il y a de nouveau, c’est que maintenant la droite nationale n’est pas la seule à publier ces chiffres si accablants pour les gouvernements français depuis 30 ans.
Sarkozy, tout en remarquant que seuls 7 immigrés sur 100 travaillent, non seulement ne freine pas l’immigration, mais accélère les régularisations des immigrés.
Deux questions : pourquoi ? Que pouvons nous faire ?
A la première, je répondrais que cela fait partie de la destruction des nations voulue par les décideurs mondialistes. Destruction qui s’accélère.
A la seconde, que nous devons d’abord mettre de l’ordre dans nos vies. De l’ordre naturel d’abord et, autant que possible, de l’ordre surnaturel car en fait tout dépend de cet ordre là. Les Français ont un héritage spirituel fabuleux qui est largement méconnu. S’ils revenaient à l’étude sérieuse de la foi catholique qui a en si grande partie façonnée la France, ils se rendraient compte du trésor qu’ils ont.
La base, serait celle là. Ensuite, nous serions si bien armées pour faire face aux grandes difficultés qui nous attendent, que nous serions invincibles. La bataille se joue dans la mentalité des combattants. Tant que les Français ne feront que « ronchonner » (selon un sondage récent, les Français sont les plus « ronchons » de l’Europe) au lieu de se défendre activement, les choses ne pourront qu’empirer.

Communiqué de l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne:
"Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja, présidente de l’association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l’égard des Français. Il s’agissait de l’emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ». Le juge d’instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c’est-à-dire celui de son lieu de domicile. Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse. Par ailleurs, la procédure contre le livre « Nique la France » édité par l’association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française est en cours."

Aux infos de ce soir on parlait de quelques stèles musulmanes profanées en Provence. Dès qu'il y a une atteinte aux cimetières musulmans ou israélites, nous sommes informés et assurés de la présence sur les lieux d'un élu indigné.
Le 7 mai sur Radio Courtoisie on a appris que : "Dans la réponse à une question écrite du député UMP Louis Guédon au gouvernement parue mi-avril au Journal Officiel, on peut lire les chiffres suivants au sujet des actes de vandalisme durant l'année 2008 : Atteintes aux sites israélites : 6; atteintes aux sites musulmans : 13; atteintes aux sites chrétiens : 266."

vu dans le blog d'Yves Daoudal

Les habitants de Dudley, en Angleterre (ville de près de 200.000 habitants) ont fait échec au projet de grande mosquée.

Dès l'origine, ils avaient protesté, par deux pétitions, contre le projet d'une grande mosquée qui devait surplomber la vieille ville. En 2007, le conseil municipal avait rejeté la demande de construction. En appel, le gouvernement avait accordé la demande. La municipalité était allée devant la Haute Cour. Laquelle avait confirmé la décision gouvernementale.

De grandes manifestations s'en étaient suivies. Et, ces derniers jours, des membres de l'English Defense League avaient occupé les toits des bâtiments d'une usine désaffectée à l'emplacement où doit être construite la mosquée. Ils disaient avoir des vivres pour plusieurs semaines (et ils faisaient griller du bacon...), mais ils ont été délogés et arrêtés par la police.

Or, le lendemain, un adjoint au maire a déclaré qu'après des mois de négociations délicates, l'Association des Musulmans de Dudley a renoncé à son projet et a décidé de réaménager la mosquée existante...

(Via Bivouac-ID)

Vu dans lemonde.fr le 5 mai
"Faisal Shahzad, Pakistano-Américain de 30 ans,est arrivé aux Etats-Unis en décembre 1998, a étudié l'informatique et les affaires (entre autres à l'université Southeaster de Washington) et travaillé comme analyste financier. Il a obtenu une carte de résident en 2005 et sa naturalisation américaine en 2009. Il a longtemps vécu à Shelton, dans le Connecticut, un Etat voisin de New York, avec sa femme, Huma Mian, et leurs deux jeunes enfants, avant de déménager à Bridgeport.
Les photos d'un homme au sourire clair, à la barbe bien taillée et aux fines lunettes fumées, loin de l'image d'Epinal du djihadiste tribal, circulent en boucle sur les écrans américains. Il fréquentait peu la mosquée la plus proche, aux dires de son imam. Selon des voisins, sa pelouse était remarquablement entretenue et le couple était - comme il se doit - "très discret".
M. Shahzad était revenu le 3 février aux Etats Unis après cinq mois passés au Pakistan. Selon les services de renseignement de ce pays, il aurait été entrainé dans un camp djihadiste près de Kohat, une ville où l'influence des "talibans pakistanais" est importante."
Encore, donc, un modèle de musulman intégré, assimilé, tranquille, ayant fondé une famille et trouvé un bon travail. Seulement voilà, les occidentaux connaissent mal l'islam, dont les concepts sont souvent totalement étrangers à la mentalité occidentale. Entre autres, la taqiyya, qui signifie prudence. C'est la dissimulation de la foi permise par le Coran (XVI-108). Elle autorise le croyant selon le grand docteur Al Tabari de "confesser avec sa langue la religion des incroyants tandis que son coeur pense le contraire".(pg 234 l'Islam sans complaisanceBernard Antony.
C'est à dire, que le Coran autorise le mensonge pour faire avancer la cause de l'islam, de la djihad. La ruse a toujours été de bonne guerre quand on est face à plus fort que soi. Il serait temps que les occidentaux en tiennent compte, surtout face aux musulmans qui excellent dans l'art de se poser en victimes.

A Detroit, dans le Michigan, un juge fédéral a prononcé un non-lieu dans le cas d’un juge de l’état de Michigan qui était accusé de violation du droit d’une femme a pratiquer sa religion, quand il a exigé qu’elle enlève son voile du style intégral qui ne laisse voir que les yeux.
Le juge fédéral a décrété qu’il n’y avait eu aucune intention d’offenser de la part de ce juge qui exige qu’on retire même tout chapeau dans son tribunal, et qu’il aurait permis à la femme, Raneen Albaghdady, de garder son voile s’il avait su que le voile était un signe religieux.
Mais l’avocat de R.Albaghdady, Nabih Ayad, dit qu’il y aurait dû y avoir un procès .

On voit donc qu’aux Etats-Unis comme ici, les musulmans sautent sur la moindre occasion pour se poser en victimes, faire venir un avocat, faire un procès, faire venir la presse.

Aux Etats-Unis comme ici, les autorités ne savent rien ou peu sur l’islam. Par exemple, que le Coran n’exige pas que la femme porte un voile. Ce sont des pratiques qui dépendent de l’islam culturel selon qu’il est pratiqué dans un endroit ou un autre.

Mais, comme dit Bat Ye’or, historienne britannique d’origine juive, « Je constate tout d’abord que l’immense majorité des Européens ignorent des concepts clefs pour comprendre les défis contemporains, ceux de djihad et surtout de dhimmitude. Cette carence les rend incapables d’ajuster des politiques aptes à juguler le terrorisme islamique mondial et à affirmer les principes fondateurs de leur identité et de leurs libertés. »

Une histoire à n'en plus finir. Tout est fait pour pousser toujours plus en avant l'islamisation de la France. Pour ce qui est du voile intégral, voilà une Française "de souche", énième femme épousée devant un imam par un musulman ayant acquis la nationalité française par mariage, qui convoque une conférence de presse (!) et met en route toute une action d'agit-prop bien orchestrée, parce qu'un policier l'a verbalisée alors qu'elle conduisait en voile intégral.
Voici le gouvernement bien embarrassé. La population est majoritairement contre l'islamisation de la France, et ne veut pas voir les burquas dans les rues. L'argument laïc? D'une part, en France on est libre de s'habiller comme on veut, et, d'autre part, si l'on interdit tout vêtement religieux, l'habit des religieuses, des moines et des prêtres catholiques seront hors la loi, tout comme la kippa juive.
Pourtant, il n'est pas politiquement correct de dire que la France est de civilisation chrétienne.
Que faire alors? Sans insister sur les racines de notre culture et de notre civilisation, on pourrait appliquer le "quand tu es à Rome, fais comme les Romains". C'est à dire, exiger le respect de nos mœurs et coutumes, sans autre obligation de donner une raison que celle là. Chez nous, c'est comme cela. Celui qui veut à tout prix imposer des traditions étrangères à nos traditions à nous, peut et doit aller s'installer ailleurs. Simplement. Seulement voilà. Ce qui est si simple, enfantin, requiert de nos jours un courage que nos gouvernants n'ont pas.

Comme le disent tous les commentateurs, la crise grecque n’est que le bout de l’iceberg, et sera vraisemblablement suivi de la crise portugaise, la crise espagnole et peut être la crise française. Ce sont des pays qui ont vécu, qui vivent, largement au-dessus de leurs moyens, grâce à l’euro et à l’Allemagne mais qui, ayant perdu tout contrôle de leur monnaie, ne peuvent pas jouer sur la dévaluation pour redresser leur situation.
La majorité de commentateurs le disent : l’Europe est bâtie structurellement sur une économie libérale attachée à l’euro. Certains (ex. dans libertepolitique) terminent en disant qu’il faut soit davantage d’Europe (harmonisation des budgets et des économies menant à un gouvernement politique européen et donc la fin du peu qui reste des nations souveraines) soit moins d’Europe (contrôle de sa monnaie par chaque pays).
Eric Zemmour dans « ça se discute » à la télévision l’a très bien dit hier, que l’Europe a été bâtie sciemment sur l’économie, que cela a été voulue, par idéologie libérale, contre les nations, pour détruire les nations. Seulement, la réalité, c’est que les nations existent, elles sont là, et cette réalité a « sauté à la gueule » de l’Europe telle qu’elle est construite : à l’encontre de tout bon sens, de toute vraie démocratie.
Ce que la droite nationale toutes tendances confondues dit depuis des années, devient l’évidence même, une réalité qu’on touche du doigt.
Toutefois, connaissant la classe gouvernante française et l’indoctrination d’une grande partie de la population, nous pouvons nous préparer à affronter une période très difficile en France.