A vrai dire

Obligée pour des raisons familiales à me rendre aux U.S.A. pour un mois, je reprendrai ce blog fin octobre.

Plus on se renseigne sur le fonctionnement du cerveau, plus on se pose la question : mais, cette destruction est-elle voulue?

Nos deux cerveaux, droit et gauche, « cœur » et « raison » doivent travailler ensemble, en coordination, chacun complétant l’autre. Mais, nous le savons tous, le côté « cœur », émotion, réaction viscérale, est plus facile à mettre en œuvre que le raisonnement. Plus agréable aussi.

Seulement, quand on ne fait marcher quasiment que le cerveau droit, on crée des individus dits « sauvages » car instables, violents, et incapables de raisonner. Le contraire –- l’exagération du cerveau gauche-- ne donne que de robots qui savent raisonner logiquement mais qui sont dépourvus de cœur et qui sont eux aussi capables de tuer de millions de gens pour faire fonctionner leur schéma logique d’une société « rationnelle ». Nous avons vu le National Socialisme allemand et le marxisme soviétique à l’œuvre, sans parler de la Révolution française !

Mais pour le moment il semble bien que notre société souffre d’un manque de structuration principalement du cerveau gauche, car tout est fait et à l’école et dans l’environnement culturel, pour exciter les émotions et pour pousser à satisfaire toutes les pulsions.

Le Dr Minh Dung Nghiem mentionne une expérience faite avec des rats. On leur a mis des électrodes dans le cerveau droit, où se trouve le centre de plaisir. En poussant un levier, le rat recevait une décharge électrique au centre de plaisir. Les rats ont fini par mourir de faim et d’épuisement car ils ne faisaient que pousser le levier pour exciter leur centre de plaisir.

Une de ramifications de ce centre de plaisir concerne la jouissance sexuelle.

Alors, faisons l’addition de tout cela. En ne formant les jeunes générations que du côté cerveau droit, on forme, nous disent les médecins, des sauvages (au sens des ethnologues) : des individus instables, émotifs, violents, cruels, qui ne se souviennent pas de ce qu’ils ont fait. Non seulement les méthodes pédagogiques dans la majorité des écoles font travailler le cerveau droit et non le gauche, la télévision, le cinéma, la publicité audio-visuelle et écrite, excitent le cerveau droit. (Vous avez remarqué, dans le commentaire de Mme Delaume sur la télévision, que « Tout est jouissance, désir ou extase, même les yaourts ! »)

Ajoutez à cela la musique moderne, toute basée sur le tam-tam, le boum boum qui excite le cerveau dit primitif ou reptilien et qui peut faire entrer en transe.

Des rave parties ? Bien sûr que les autorités laissent faire. C’est du pain bénit (si l’on ose dire) pour qui veut contrôler la population et la rendre docile. Toutefois, comme mentionne un médecin, ce serait plus économique de mettre des électrodes à 95% de la population et de les abonner à une borne électrique, comme les rats.

(Lu dans Pédagogies magazine n°2) Mme Chloé Delaume pendant 22 mois a regardé la télévision du matin au soir, dans une expérience en collaboration avec son mari (qui avait le rôle de référence pour constater les évolutions survenues chez sa femme), nous dit quels furent les effets de cette boulimie de télévision.

Les premiers effets sont physiques : migraine, puis changement de comportements alimentaires. Mme D. a grossi, parce qu’elle s’est mise à acheter de façon compulsive et inconsciente les produits qu’elle avait vus dans les programmes ou dans la publicité.

Le second effet : une modification de la syntaxe. Mme D et son mari ont constaté un réel appauvrissement du langage. Elle ressortait les phrases entendues dans les programmes et qui en fait sont les mêmes sur l’ensemble des chaînes.

Le troisième effet est une paresse généralisée et une disparition de l’esprit critique. Le gros danger de la télévision est qu’on devient inactif. On est anesthésié progressivement.

Le dernier effet constaté : une perte du désir. « J’étais écoeurée, écoeurée par l’image du corps féminin qui y est raboté. Tout est jouissance, désir ou extase, même les yaourts ! »

Pour terminer, « La télévision n’est pas (…) une fenêtre sur l’extérieure, elle rentre dans la tête et on finit par habiter dedans. »

Encore une offensive contre les fondements de notre civilisation. Il ne faut jamais oublier que nous sommes le produit quasi-miraculeux de l'union de la raison gréco-latine et de la révélation aux Hébreux. S'attaquer à l'un de ces soubassements, est oeuvre de destruction profonde.
Plus TV est une chaîne de télévision du paysage audiovisuel belge, destinée aux adolescents et bâtie sur le modèle français de M6. Cette TV lance sa campabne de rentrée sur le thème du Bien et du Mal. Pour l'occasion, le personnabe principal de ette campagne est un acteur censé représenter un Jésus baba-cool, ventripotent et hirsute qui utilise notamment ses pouvoirs pour s'entourer... de deux jeunes femmes démoniques en tenues érotisées et prenant des poses suggestives.
Divers spots publicitaires sont prévus sur ce thème et seront diffusés tant au cinéma que sur les différentes chaînes de télévision belges de RTL Group.
La présentation acutelle du site internet de Plug TV est entièrement axée sur cette campagne, derrière laquelle on trouve le directeur "artistique" de Plus TV, Olivier Pairoux, soutenu par le producteur délégué de Plug TV, Eusebio Larrea.
On peut s'adresser à Plug TV
ou à: Tvi s.a.
RTL House
2 avenue Georgin
1030 Bruxelles (tél: 32 2 778 69 11 ou Fax: 32 2 778 69 72)

# Artémisa Mariès 12:02 0 commentaire(s)

Nous apprenons que la police iranienne a donné des avertissements à plus de 110.000 femmes mal voilées depuis le mois d'avril, quand a commencé la campagne pour faire mieux observer les moeurs islamiques. 5.700 personnes dont 1.400 hommes ont été contraints de suivre des cours de bonnes moeurs, et 1.600 femmes ont été déférées devant les tribunaux.

Le Figaro: A Massy, Mgr Michel Dubost, évêque d'Evry, a demandé à la justice de faire évacuer les clandestins qui occupent l'Eglise Saint-Paul (Essonne) depuis quatre mois pour demander leur régularisation.
Les clandestins ont clairement annoncé qu'ils n'entendaient pas quitter les lieux.
Ce dont ce genre de dépêches ne parlent jamais, sont les dégâts commis par ces clandestins à l'intérieure des églises, et, souvent, leur volonté de musulmans de salir et d'avilir tout ce qui est chrétien.
Malheureusement, si la "justice" française se montre complaisante pour les clandestins, elle sévit avec toute la rigueur de la loi contre les Français qui auraient (comme Cyrano de Bergerac) "des démangaisons à leur épée".

Le 12 septembre, fête du Saint Nom de Marie, fête instituée pour remercier Notre Dame de la victoire sur les Turcs lors de la bataille de Vienne (1683). D'après la petite histoire, les boulangers viennois, levés tôt pour enfourner le pain, auraient entendu les bruits sous-terrains du travail de sape des Turcs et auraient donné l'alerte. Pour célébrer la victoire, ils ont inventé le croissant, signe de l'Islam, que les chrétiens ont mangé avec appétit. Bref, surtout ce jour-là, mangeons des croissants!! Par les temps qui courent, il ne faut pas passer à côté des petites joies de ce genre....

Je reçois sur ce blog une question d’un de ceux qui me font l’honneur de me lire : « Si on vous traitait de sale hispano-américaine… Vous diriez quoi ? »

Je dirai d’abord que jamais un professeur ne m’a traité de « dirty mexican », et je n’ai entendu aucun enseignant traiter ainsi un élève d’origine mexicaine. Il faut tout de suite ajouter que jamais un élève de quelque origine que ce soit, ne s’est comporté en classe comme celui dont il est question dans l’affaire d’Epinay.

Il faut à mon avis bien voir le contexte. Aucun élève n’à le droit d’être indiscipliné, de n’en faire qu’à sa tête en classe, de provoquer ainsi l’autorité légitime du professeur. En perturbant la classe, cet élève prive les autres élèves de leur droit à recevoir l’enseignement que doit dispenser le professeur. On ne peut pas enseigner dans une ambiance pourrie par un élève qui écoute sa musique, gigote au rythme, et refuse d’éteindre son téléphone portable.

Que le prof soit « sorti de ses gonds » au point de faire allusion aux origines du trublion est compréhensible mais certes pas excusable. D’ailleurs, des lycéens me disent que dire à quelqu’un « Ne fais pas le bamboula ! » veut dire tout simplement « Ne fais pas l’idiot » et ne fais pas allusion à l’ethnie.

Qu’est ce que vous feriez, vous, si vous étiez prof, si vous essayiez de faire la classe à des élèves qui ne demandaient que cela, qui voulaient apprendre ce que vous aviez à leur donner, et qu’un perturbateur vous en empêchait ? Sachant qu’en tant que professeur vous n’avez pas le droit de toucher à l’élève, et à peine le droit de le sanctionner légèrement (ce qui est mal vu par les autorités). Les élèves savent tout cela, et les perturbateurs en profitent.

Toutefois, je pense vraiment qu’en règle générale on respecte ce qui est respectable. L’élève en question, par son comportement, n’était pas respectable, ne s’est pas donné à respecter. Au contraire.

Le chrétien a le devoir de charité (amour) fraternel, c’est vrai. Mais il a aussi l’autre devoir qui va avec – celui de rendre aussi facile que possible la tâche qu’ont les autres de l’aimer.

Pour revenir à « Vous diriez quoi ? » Dans ma jeunesse j’ai eu à faire aux préjugés de certains anglo-américains contre les mexicains. Selon le contexte, je me suis défendue par la parole (l’Arizona faisait partie du territoire mexicain avant d’être pris par les USA – j’étais donc davantage chez moi que mes agresseurs ; en tant que Mexicaine, latine, je possédais un héritage culturel infiniment plus riche) et, une fois, face à une insulte lancée par une camarade de classe, par une gifle retentissante. Mais, justement, cet héritage culturel a fait que j’ai reçue à la maison une éducation qui commandait le respect pour ses parents, pour les personnes âgées, pour les professeurs dans l’exercice de leurs fonctions, et pour les inconnus en général tant qu’ils n’avaient pas par leur comportement perdu leur droit à mon respect. OK ?