A vrai dire

Mercredi 11 février 2009, un Marocain de 29 ans a été condamné à deux ans deux prison ferme par le tribunal d'Evry, pour "atteinte sexuelle sur mineure".
Et voilà toute l'affaire:une jeune fille de 14 ans, qui, à ses vingt-trois ans, témoigne au procès, à été mariée de force selon la loi coranique imposée par son père, à un musulman à la situation irrégulière. L"union" se révèle encore plus glauque en apprenant la complicité de la mère de la jeune fille, pour sa robe de mariée et des pilules contraceptives, du beau frère, pour l'appartement à Grigny, lieu de la "nuit de noces" ou la jeune fille fut ensuite retenue 22 jours subissant deux fois par jours des rapports sexuels avec son "mari". Dans ses requisitions, le procureur a évoqué un "pseudo-mariage" issu d'un "pseudo-consentement".
En février, Mushtaq Amer Butt comparait pour avoir bruler grièvement son ex-petite amie Shérazade. Les experts-psychiatres l'ont dépeint comme un "amoureux blessé" (sortez les violons et les mouchoires) et son geste a été décrit comme "crime passionnel".
Ce mot semble très à la mode et bien pratique pour englober les nombreux actes de tortures (brulures au visage, mutilations, victimes égorgées, lacérées, lapidées, immolées par le feu) et les crimes,plus ou moins médiatisés (lapidation de Sohane en 2002)preuves, non pas d'un amour démesuré mais d'une véritable violence préchée et attisée par une religion qui dans ses principes, donne à l'homme tous droits sur sa femme.
Les jugements, lorsqu'il y en à, sont en général cléments envers les criminels. POur cause de lois inadaptées, de peur des représailles, d'une religion inattaquable selon les principes de tolérance et de laicité établis en France.

d'après l'article de Caroline Parmentier, pour la revue Présent, numéro 6779

"Baissons le son"; voilà une phrase que l'on s'entend souvent dire mais dont nous ne prenons jamais pleinement conscience. Nous écoutons à un niveau raisonnable notre baladeur, nous n'allons pas tous les soirs à des concerts de rock...le risque est donc minime;et pourtant...Ce n'est pas seulement une question de musique mais de tout un quotidien bruyant qui nous environne et qui porte atteinte à notre sensibilité auditive et à notre état psychologique.
Quelques repères:
L'oreille est menacée,sans que nous nous en appercevions dès les 85dB.
Les lieux de vie comme une rue ou un magasin atteignent un niveau sonore entre 60 et 80 dB!
Quant aux MP3,le plus fort volume monte à 85dB.
Ne parlons pas des concerts de rock (140dB), des discothèques (110 à 120dB) et de certaines sources comme les avions et fusées qui atteignent 200dB.
"Soumettre ses oreilles pendant deux ou trois heures à un niveau sonore dépassant parfois 110 décibels,c'est prendre le risque d'un traumatisme sonore aigu" prévient l'association Journée Nationale de l'Audition. En effet, notre oreille interne est constituée de cellules cillées qui "éclatent" au contact d'un niveau sonore trop important. Ces cellules ne se reconstituent pas et leur perte entraine la surdité chez l'homme. Au-delà des pertes auditives, l'excès sonore provoque en nous des traumatismes comme la fatigue, l'irritabilité, une déficience immunitaire et s'avère pénalisant pour l'apprentissage et l'assimilation du langage chez les jeunes enfants.
Ainsi donc, prudence! accordez vous des instants de silence dans une journée et limitez les écoutes prolongées.
"Comme dans tout autres domaines, la modération reste le meilleur moyen de prévenir tout problème."
d'apres l'article de Séverine BOUNHOL pour la revue Valeurs mutualistes num254

L'auteur de ce blog, Madame Maries,pour cause d'hospitalisation est dans l'impossibilité de poursuivre, pour quelques semaines, le blog a-vrai-dire.
En attendant son rétablissement,je me suis engagée à rédiger les articles qu'elles m'a demandé. Ils arriveront, et je vous prie de m'en excuser, avec moins de régularité.
Merci de votre compréhension et de votre fidélité.
C.C