mardi, mars 22, 2011
bonne idée
vu sur le blog d'Yves Daoudal
Depuis 2009, la ville d’Oslo propose des cours de charia pour les chômeurs musulmans qui ont du mal à trouver un emploi en raison de l’incompatibilité de certaines professions avec leur religion.
Ainsi certains musulmans pensent par exemple qu’ils n’ont pas le droit de travailler dans des magasins qui vendent du porc ou de l’alcool. Mais, enseigne la mairie, selon la “rukhsa” (dispenses), les musulmans sont autorisés à faire, dans les pays non musulmans, des choses qu’ils ne sont pas autorisés à faire dans les pays musulmans, comme vendre de la viande de porc.
Au cours de la journée spéciale organisée par la municipalité, les participants sont invités à réfléchir d’où provient l’argent des aides sociales. Les aides sociales ne seraient pas possible sans les taxes, et les recettes fiscales proviennent de tous les secteurs de la société norvégienne - y compris le commerce du vin et des discothèques - et en utilisant leur raisonnement les musulmans ne devraient pas accepter d’aides sociales s’ils ne peuvent pas travailler dans des endroits où il y a des produits haram.
Voilà une bonne idée à développer pour nos musulmans qui refusent tout contact avec des produits haram : refusez aussi les aides sociales !
Depuis 2009, la ville d’Oslo propose des cours de charia pour les chômeurs musulmans qui ont du mal à trouver un emploi en raison de l’incompatibilité de certaines professions avec leur religion.
Ainsi certains musulmans pensent par exemple qu’ils n’ont pas le droit de travailler dans des magasins qui vendent du porc ou de l’alcool. Mais, enseigne la mairie, selon la “rukhsa” (dispenses), les musulmans sont autorisés à faire, dans les pays non musulmans, des choses qu’ils ne sont pas autorisés à faire dans les pays musulmans, comme vendre de la viande de porc.
Au cours de la journée spéciale organisée par la municipalité, les participants sont invités à réfléchir d’où provient l’argent des aides sociales. Les aides sociales ne seraient pas possible sans les taxes, et les recettes fiscales proviennent de tous les secteurs de la société norvégienne - y compris le commerce du vin et des discothèques - et en utilisant leur raisonnement les musulmans ne devraient pas accepter d’aides sociales s’ils ne peuvent pas travailler dans des endroits où il y a des produits haram.
Voilà une bonne idée à développer pour nos musulmans qui refusent tout contact avec des produits haram : refusez aussi les aides sociales !
dimanche, mars 20, 2011
frappes en Lybie
Voilà de nouveau les va-t-en-guerre à l'oeuvre en Lybie. De quel droit? Vous souvenez-vous de l'époque où on prônait "le droit des peuples à l'auto-détermination"? Puis, fin des années '80, (cf Kouchner et l'abbé Pierre par exemple, sans parler des anglo-saxons) ce fut la révélation du "devoir d'ingérence". D'abord pour cause "humanitaire" mais toujours avec son corollaire, "la démocratie".
En février j'ai assisté à une session sur le mondialisme organisée par l'Action Familiale et Scolaire, pendant laquelle nous avons appris quelques projets des tenants d'un gouvernement mondial. La balkanisation de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient figurait parmi ces projets.
La Tunisie, puis l'Egypte, et le reste à suivi. Le dictateur Lybien se montrant quelque peu récalcitrant, et déterminé à garder son pouvoir coute que coute, "la communauté internationale" trouve qu'il est de son devoir de venir en aide aux révolutionnaires lybiens pour qu'ils soient "libres".
La France, championne des révolutions tous azimuths est bien sûr à la tête de la manoeuvre. On a donc déclaré la guerre à un pays, on frappe militairement son territoire, arbitrairement, sans aucun droit.
Malheureusement, la France et les Occidentaux sont toujours considérés par le monde arabe comme "chrétiens".
Comment voulez-vous que ce monde musulman ne nous haïsse pas?
En février j'ai assisté à une session sur le mondialisme organisée par l'Action Familiale et Scolaire, pendant laquelle nous avons appris quelques projets des tenants d'un gouvernement mondial. La balkanisation de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient figurait parmi ces projets.
La Tunisie, puis l'Egypte, et le reste à suivi. Le dictateur Lybien se montrant quelque peu récalcitrant, et déterminé à garder son pouvoir coute que coute, "la communauté internationale" trouve qu'il est de son devoir de venir en aide aux révolutionnaires lybiens pour qu'ils soient "libres".
La France, championne des révolutions tous azimuths est bien sûr à la tête de la manoeuvre. On a donc déclaré la guerre à un pays, on frappe militairement son territoire, arbitrairement, sans aucun droit.
Malheureusement, la France et les Occidentaux sont toujours considérés par le monde arabe comme "chrétiens".
Comment voulez-vous que ce monde musulman ne nous haïsse pas?
lundi, février 21, 2011
Affaire Cassez vu par A.Chauprade
Il y a quelque temps, j'avais mis sur ce blog des informations trouvé sur le site Sed Contra, donnant les dépositions de quelques victimes de la bande criminelle à laquelle Florence Cassez était associée. Certains lecteurs m'ont envoyé des commentaires offusqués, persuadés que le système judiciaire méxicain etait corrompu et peu fiable. Trop facile à dire, à mon avis.
Voici maintenant, du site Polemia (cliquez sur titre) via le Salon Beige:
La diplomatie est devenue émotionnelle comme la politiqueAymeric Chauprade se désole :
"L’instrumentalisation du sentiment s’est désormais complètement substituée, dans tous les domaines (sécurité, justice, économie…), à la vraie politique, laquelle consisterait à traiter en profondeur la racine des problèmes. Nos gouvernants ne savent plus que larmoyer, devant des micros, tout en s’agrippant aux caméras des familles de victimes. [...]
Contrairement aux partis dominants qui, à l’unisson, semblent vouloir faire de Florence Cassez un nouveau Dreyfus, nous ne voulons pas être définitifs sur cette affaire. La reconstitution spectaculaire devant les caméras de la télévision mexicaine, au lendemain de l’arrestation, en 2005, obéissait sans doute à une volonté de la part du gouvernement mexicain de médiatiser son action de répression de ce qui est un véritable fléau au Mexique : les enlèvements de personnes privées avec demande de rançon et mutilations. N’oublions pas que le président mexicain est confronté à des gangs criminels et des cartels qui, depuis 2006, ont fait plus de 30.000 morts dans ses forces de sécurité. Il s’agit d’une véritable guerre, et c’est la raison pour laquelle le petit caprice émotionnel du Tout-Paris n’impressionne guère les Mexicains. Il n’en demeure pas moins que cette reconstitution a contribué à ternir la procédure judiciaire mexicaine ; mais il faut raison garder : elle ne doit pas en effacer le contenu.
La vérité, c’est que le Mexique, grand pays membre de l’ALENA, et puissance importante de l’Amérique latine, dispose d’un vrai système judiciaire, et que les faits sont accablants pour Florence Cassez. Les témoignages sont là, et il est difficile par ailleurs (simple remarque de bon sens) de faire croire que Florence Cassez ait pu vivre pendant autant de temps dans un ranch où s’activaient une bande de tueurs, avec des armes et des munitions partout, des otages cachés et souvent torturés, ceci sans n’avoir jamais rien remarqué ! [...]
Cette affaire me fait penser à celle des deux Françaises, Sarah Zaknoun et Cécile Faye, emprisonnées en 2008 en République dominicaine pour trafic de drogue, et graciées en décembre 2009 par le président dominicain à la suite d’une campagne médiatique puis politique, depuis Paris. Je suis personnellement bien placé pour savoir que dans cette affaire, le même impératif médiatique et émotionnel faisait office de politique et écrasait le fond du dossier. Heureusement pour les deux gentilles « vacancières », le président dominicain voulait faire plaisir à la France et à son président. Mais la justice dominicaine n’avait pourtant pas été prise d’hallucination collective, pas plus que celle du Mexique et des victimes qui ont témoigné ! [...]
Je pense aussi à l’affaire Cesare Battisti, ce terroriste italien d’extrême gauche, que les médias français s’étaient mis en tête de faire libérer, au mépris de la justice italienne et des relations avec ce pays ami. On y a retrouvé les traditionnelles leçons de morale françaises, le mépris pour nos voisins et amis, le déni de justice et de souveraineté d’un partenaire de l’Union européenne. Je pense aussi à la gestion de l’affaire Bétancourt (la première, celle d’Ingrid), qui fut lamentable pour nos relations avec la Colombie.
Nous avons tout faux dans ces affaires ! [...] nous affichons devant le monde entier une arrogance sans nom, un mépris pour la justice et la souveraineté de ces pays, comme si d’ailleurs notre justice et notre démocratie étaient exemplaires ! [...] Cette politique émotionnelle, «du coup médiatique», qui contamine jusqu’à notre politique étrangère, est devenue absolument insupportable ; elle finira d’ailleurs par se montrer contre-productive pour ceux qui en usent. Car si les Français ont des émotions et peuvent tomber dans ce genre de piège, ils comprennent par ailleurs de plus en plus que le pays est gouverné dans l’instant, sans vision stratégique, et que sa tête se pose de moins en moins la question du Bien commun."
Michel Janva
Voici maintenant, du site Polemia (cliquez sur titre) via le Salon Beige:
La diplomatie est devenue émotionnelle comme la politiqueAymeric Chauprade se désole :
"L’instrumentalisation du sentiment s’est désormais complètement substituée, dans tous les domaines (sécurité, justice, économie…), à la vraie politique, laquelle consisterait à traiter en profondeur la racine des problèmes. Nos gouvernants ne savent plus que larmoyer, devant des micros, tout en s’agrippant aux caméras des familles de victimes. [...]
Contrairement aux partis dominants qui, à l’unisson, semblent vouloir faire de Florence Cassez un nouveau Dreyfus, nous ne voulons pas être définitifs sur cette affaire. La reconstitution spectaculaire devant les caméras de la télévision mexicaine, au lendemain de l’arrestation, en 2005, obéissait sans doute à une volonté de la part du gouvernement mexicain de médiatiser son action de répression de ce qui est un véritable fléau au Mexique : les enlèvements de personnes privées avec demande de rançon et mutilations. N’oublions pas que le président mexicain est confronté à des gangs criminels et des cartels qui, depuis 2006, ont fait plus de 30.000 morts dans ses forces de sécurité. Il s’agit d’une véritable guerre, et c’est la raison pour laquelle le petit caprice émotionnel du Tout-Paris n’impressionne guère les Mexicains. Il n’en demeure pas moins que cette reconstitution a contribué à ternir la procédure judiciaire mexicaine ; mais il faut raison garder : elle ne doit pas en effacer le contenu.
La vérité, c’est que le Mexique, grand pays membre de l’ALENA, et puissance importante de l’Amérique latine, dispose d’un vrai système judiciaire, et que les faits sont accablants pour Florence Cassez. Les témoignages sont là, et il est difficile par ailleurs (simple remarque de bon sens) de faire croire que Florence Cassez ait pu vivre pendant autant de temps dans un ranch où s’activaient une bande de tueurs, avec des armes et des munitions partout, des otages cachés et souvent torturés, ceci sans n’avoir jamais rien remarqué ! [...]
Cette affaire me fait penser à celle des deux Françaises, Sarah Zaknoun et Cécile Faye, emprisonnées en 2008 en République dominicaine pour trafic de drogue, et graciées en décembre 2009 par le président dominicain à la suite d’une campagne médiatique puis politique, depuis Paris. Je suis personnellement bien placé pour savoir que dans cette affaire, le même impératif médiatique et émotionnel faisait office de politique et écrasait le fond du dossier. Heureusement pour les deux gentilles « vacancières », le président dominicain voulait faire plaisir à la France et à son président. Mais la justice dominicaine n’avait pourtant pas été prise d’hallucination collective, pas plus que celle du Mexique et des victimes qui ont témoigné ! [...]
Je pense aussi à l’affaire Cesare Battisti, ce terroriste italien d’extrême gauche, que les médias français s’étaient mis en tête de faire libérer, au mépris de la justice italienne et des relations avec ce pays ami. On y a retrouvé les traditionnelles leçons de morale françaises, le mépris pour nos voisins et amis, le déni de justice et de souveraineté d’un partenaire de l’Union européenne. Je pense aussi à la gestion de l’affaire Bétancourt (la première, celle d’Ingrid), qui fut lamentable pour nos relations avec la Colombie.
Nous avons tout faux dans ces affaires ! [...] nous affichons devant le monde entier une arrogance sans nom, un mépris pour la justice et la souveraineté de ces pays, comme si d’ailleurs notre justice et notre démocratie étaient exemplaires ! [...] Cette politique émotionnelle, «du coup médiatique», qui contamine jusqu’à notre politique étrangère, est devenue absolument insupportable ; elle finira d’ailleurs par se montrer contre-productive pour ceux qui en usent. Car si les Français ont des émotions et peuvent tomber dans ce genre de piège, ils comprennent par ailleurs de plus en plus que le pays est gouverné dans l’instant, sans vision stratégique, et que sa tête se pose de moins en moins la question du Bien commun."
Michel Janva
dimanche, février 20, 2011
La stratégie des musulmans dans les entreprises
via le Salon Beige poste redigé par Michel Janva:(pour voir la source cliquez sur le titre sousligné du message)
Eric Denécé, Directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), a écrit un article intitulé La poussée islamiste dans les entreprises, dans la revue Sécurité Globale. On y lit :
"La pression islamiste s’exerce désormais dans les entreprises, principalement selon deux modalités : le prosélytisme militant et contestataire et le développement de trafics susceptibles d’alimenter la cause du djihad. Cette poussée fondamentaliste dans les entreprises génère de nouveaux risques sectaires et criminels, en particulier pour celles qui sont implantées dans les zones urbaines et périurbaines. [...] Selon Yves Bertrand, ancien directeur des Renseignements généraux, «le monde du travail est désormais visé, avec, comme cibles, certaines catégories de personnel. Il s’agit évidemment des plus modestes, comme les caissières, les manutentionnaires ou les chauffeurs livreurs». La stratégie comprend trois étapes : d’abord le prosélytisme religieux ; puis la prise de contrôle de la communauté musulmane au sein de l’entreprise ; enfin la remise en question des règles de fonctionnement de celle-ci pour imposer les valeurs islamiques. La tactique est partout la même. Les islamistes formulent d’abord des demandes pouvant apparaître comme « légitimes » :
· création de salles de prières sur les lieux de travail,
· adaptation des pauses quotidiennes pour permettre la pratique religieuse,
· aménagement du temps de travail lors du Ramadan ou pour pouvoir disposer du vendredi comme jour chômé,
· respect des interdits alimentaires dans les restaurants d’entreprise.
[...] Si ces premières démarches n’ont pas provoqué de réaction frontale de la direction ou des autres salariés, les islamistes passent alors à l’action plus ouverte et aux pressions :
· prosélytisme religieux actif sur le lieu de travail,
· rejet de certains produits (vin, porc) dans les restaurants d’entreprise lorsque la majorité des employés sont musulmans,
· pressions sur les femmes pour le port du voile,
· refus de certains salariés musulmans de reconnaître l’autorité de cadres quand il s’agit de femmes,
· souhait de voir certaines fêtes religieuses islamiques chômées,
· prise de contrôle de certaines filières de recrutement au sein de l’entreprise. [...]
Les sociétés de sécurité sont également une cible privilégiée pour les islamistes. Deux raisons à cela : tout d’abord, le faible niveau de qualification demandé pour les tâches de gardiennage permet aux immigrés sans diplôme d’y trouver un débouché ; d’autre part, en raison de l’Affirmative Action qui a fait son chemin en France, les entreprises de sécurité se doivent de recruter en priorité des individus issus des minorités (« beurs et blacks ») afin que leurs agents de sécurité ne se fassent pas taxer de racisme lors des contrôles. En conséquence, certaines sociétés de sécurité sont complètement infiltrées par des islamistes ou des réseaux de délinquants liés à l’immigration. Ce "contrôle" du recrutement leur permet de trouver un emploi aux membres de leur réseau – souvent sous une fausse identité – de prétendre au chômage, voire d’approcher des sites sensibles (aéroports notamment). [...]
Parallèlement à ces risques de type sectaire, on observe la multiplication de pratiques criminelles dans l’enceinte des entreprises. [...] Dans ce contexte, les entreprises – notamment la grande distribution et le transport – leurs locaux et bien sûr les salariés sont à la fois théâtres et enjeux des pratiques criminelles. [...] De nombreux hypermarchés observent que les employés les plus engagés dans le prosélytisme islamique cherchent systématiquement à occuper les postes qui se situent à des interfaces : standard téléphonique, chauffeurs livreurs, coursiers, caissières (passage obligé), sécurité ; autant de fonctions qui permettent des échanges d’informations, d’argent et de marchandises (surveillance, trafics, détournement, etc.).
Enfin, on constate l’accroissement des abus et escroqueries à l’encontre de l’entreprise et des Assedic. Après avoir été embauchés et avoir travaillé pendant quelques mois en hypermarché, de nombreux individus multiplient les absences injustifiées et finissent par abandonner leur poste. Le magasin ne pouvant fonctionner durablement en sous-effectif se voit contraint de les licencier pour faute grave. Mais la législation leur accorde le chômage Ainsi, ces individus font venir leur famille en France ou retournent vivre au pays grâce aux Assedic."
Eric Denécé, Directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), a écrit un article intitulé La poussée islamiste dans les entreprises, dans la revue Sécurité Globale. On y lit :
"La pression islamiste s’exerce désormais dans les entreprises, principalement selon deux modalités : le prosélytisme militant et contestataire et le développement de trafics susceptibles d’alimenter la cause du djihad. Cette poussée fondamentaliste dans les entreprises génère de nouveaux risques sectaires et criminels, en particulier pour celles qui sont implantées dans les zones urbaines et périurbaines. [...] Selon Yves Bertrand, ancien directeur des Renseignements généraux, «le monde du travail est désormais visé, avec, comme cibles, certaines catégories de personnel. Il s’agit évidemment des plus modestes, comme les caissières, les manutentionnaires ou les chauffeurs livreurs». La stratégie comprend trois étapes : d’abord le prosélytisme religieux ; puis la prise de contrôle de la communauté musulmane au sein de l’entreprise ; enfin la remise en question des règles de fonctionnement de celle-ci pour imposer les valeurs islamiques. La tactique est partout la même. Les islamistes formulent d’abord des demandes pouvant apparaître comme « légitimes » :
· création de salles de prières sur les lieux de travail,
· adaptation des pauses quotidiennes pour permettre la pratique religieuse,
· aménagement du temps de travail lors du Ramadan ou pour pouvoir disposer du vendredi comme jour chômé,
· respect des interdits alimentaires dans les restaurants d’entreprise.
[...] Si ces premières démarches n’ont pas provoqué de réaction frontale de la direction ou des autres salariés, les islamistes passent alors à l’action plus ouverte et aux pressions :
· prosélytisme religieux actif sur le lieu de travail,
· rejet de certains produits (vin, porc) dans les restaurants d’entreprise lorsque la majorité des employés sont musulmans,
· pressions sur les femmes pour le port du voile,
· refus de certains salariés musulmans de reconnaître l’autorité de cadres quand il s’agit de femmes,
· souhait de voir certaines fêtes religieuses islamiques chômées,
· prise de contrôle de certaines filières de recrutement au sein de l’entreprise. [...]
Les sociétés de sécurité sont également une cible privilégiée pour les islamistes. Deux raisons à cela : tout d’abord, le faible niveau de qualification demandé pour les tâches de gardiennage permet aux immigrés sans diplôme d’y trouver un débouché ; d’autre part, en raison de l’Affirmative Action qui a fait son chemin en France, les entreprises de sécurité se doivent de recruter en priorité des individus issus des minorités (« beurs et blacks ») afin que leurs agents de sécurité ne se fassent pas taxer de racisme lors des contrôles. En conséquence, certaines sociétés de sécurité sont complètement infiltrées par des islamistes ou des réseaux de délinquants liés à l’immigration. Ce "contrôle" du recrutement leur permet de trouver un emploi aux membres de leur réseau – souvent sous une fausse identité – de prétendre au chômage, voire d’approcher des sites sensibles (aéroports notamment). [...]
Parallèlement à ces risques de type sectaire, on observe la multiplication de pratiques criminelles dans l’enceinte des entreprises. [...] Dans ce contexte, les entreprises – notamment la grande distribution et le transport – leurs locaux et bien sûr les salariés sont à la fois théâtres et enjeux des pratiques criminelles. [...] De nombreux hypermarchés observent que les employés les plus engagés dans le prosélytisme islamique cherchent systématiquement à occuper les postes qui se situent à des interfaces : standard téléphonique, chauffeurs livreurs, coursiers, caissières (passage obligé), sécurité ; autant de fonctions qui permettent des échanges d’informations, d’argent et de marchandises (surveillance, trafics, détournement, etc.).
Enfin, on constate l’accroissement des abus et escroqueries à l’encontre de l’entreprise et des Assedic. Après avoir été embauchés et avoir travaillé pendant quelques mois en hypermarché, de nombreux individus multiplient les absences injustifiées et finissent par abandonner leur poste. Le magasin ne pouvant fonctionner durablement en sous-effectif se voit contraint de les licencier pour faute grave. Mais la législation leur accorde le chômage Ainsi, ces individus font venir leur famille en France ou retournent vivre au pays grâce aux Assedic."
vendredi, février 18, 2011
invasion halal
On apprend maintenant que toute la viande de poulet vendu chez KFC (Kentucky Fried Chicken) est certifiée "halal" par la Grand Mosquée de Paris, et ce, depuis 19 ans!
C'est à dire que, à leur insu, tous les clients du KFC depuis presque deux décennies financent l'islam en France.
Financent les mosquées, qui sont considérées par les musulmans comme "terre d'islam", mosquées qui echappent à tout contrôle et ou certains imams prèchent la haine de la France et la mise à mort de tout "infidel".
C'est à dire que, à leur insu, tous les clients du KFC depuis presque deux décennies financent l'islam en France.
Financent les mosquées, qui sont considérées par les musulmans comme "terre d'islam", mosquées qui echappent à tout contrôle et ou certains imams prèchent la haine de la France et la mise à mort de tout "infidel".
samedi, janvier 29, 2011
tunisie toujours
Sur le site www.realpolitk.tv lancé par Ayméric Chauprade il y a un an, on trouve un commentaire de Bernard Lugan dans lequel il dit sensiblement la même chose le 25 janvier, que le commentaire que j'ai transmis le 15. Ce message est suivi d'un commentaire d'Ayméric Chauprade, que je vous livre:Source : www.realpolitik.tv
Je souscris à l’analyse de Bernard Lugan mais j’y ajoute un bémol. Le devoir de dirigeants qui œuvrent au développement de leur pays est néanmoins de rester exemplaires. Or nul ne pourra contester que le clan Trabelsi (épouse du président) a joué un rôle extrêmement néfaste lequel a nourri le mécontentement et la frustration des petites gens.
Par ailleurs, il faudra bien commencer à s’interroger sur le rôle des États-Unis dans cette révolution. Washington, dont les relations avec le régime Ben Ali s’étaient fortement dégradées ces derniers mois, a clairement montré sa bienveillance à l’égard de cette dynamique populaire que je ne crois pas purement spontanée. Ben Ali était suspecté par le département d’État d’entretenir des relations souterraines et complaisantes avec l’Iran.
La question qu’il va falloir sérieusement se poser, eu égard par exemple au rôle de Wikileaks (diffusion d’informations précises sur l’enrichissement du clan Trabelsi) est de savoir si la mise en œuvre du « smart power » n’est pas engagée. En d’autres termes, la continuité de la politique révolutionnaire des États-Unis dans le monde après l’ère volontariste de George W. Bush, mais de manière moins visible, par le biais de la guerre de l’information et de l’influence. Des révolutions de velours… à la révolution de Jasmin.
Je souscris à l’analyse de Bernard Lugan mais j’y ajoute un bémol. Le devoir de dirigeants qui œuvrent au développement de leur pays est néanmoins de rester exemplaires. Or nul ne pourra contester que le clan Trabelsi (épouse du président) a joué un rôle extrêmement néfaste lequel a nourri le mécontentement et la frustration des petites gens.
Par ailleurs, il faudra bien commencer à s’interroger sur le rôle des États-Unis dans cette révolution. Washington, dont les relations avec le régime Ben Ali s’étaient fortement dégradées ces derniers mois, a clairement montré sa bienveillance à l’égard de cette dynamique populaire que je ne crois pas purement spontanée. Ben Ali était suspecté par le département d’État d’entretenir des relations souterraines et complaisantes avec l’Iran.
La question qu’il va falloir sérieusement se poser, eu égard par exemple au rôle de Wikileaks (diffusion d’informations précises sur l’enrichissement du clan Trabelsi) est de savoir si la mise en œuvre du « smart power » n’est pas engagée. En d’autres termes, la continuité de la politique révolutionnaire des États-Unis dans le monde après l’ère volontariste de George W. Bush, mais de manière moins visible, par le biais de la guerre de l’information et de l’influence. Des révolutions de velours… à la révolution de Jasmin.
vendredi, janvier 21, 2011
Tunisie: ça commence
Vu dans DaoudalHebdo:
"La Tunisie était, comme la plupart des pays arabo-musulmans, dirigée par un clan qui s’en mettait plein les poches. La spécificité de celui de Ben Ali est qu’il avait modernisé son pays de façon spectaculaire et qu’il avait vigoureusement contenu l’islamisme (le seul autre exemple est celui de Saddam Hussein, en plus… rude). Malgré la politique « laïque » de Ben Ali, la montée de l’islamisme était visible ces derniers temps en Tunisie. Mais on fait semblant de ne rien voir. Pire, la désinformation bat son plein. Le Figaro, par exemple, affirme que le mouvement El-Nahda (renaissance islamique) de Rachid Ghannouchi (ne pas confondre avec le Premier ministre qui a le même nom) est un parti modéré, qui n’a jamais basculé dans la violence, dont le chef «estime l'Islam compatible avec un régime démocratique multipartite et prône le dialogue avec l'Occident». Et de toute façon l’islamisme n’était qu’un épouvantail brandi par l’ancien dictateur pour conforter son pouvoir… Preuve en est que El-Nahda n’avait obtenu que 14 % des voix aux législatives de 1989, avant d’être interdit.
La vérité est que El-Nahda fut directement impliqué dans un certain nombre de violences graves. Ghannouchi fut condamné à mort sous Bourguiba puis gracié par Ben Ali. En 1989 il partit en exil avec un passeport… soudanais. L’année suivante il participait au congrès islamique de Téhéran et disait : «Les premières lueurs de l'islam apparaissent, ainsi que les promesses d'un islam victorieux, avec un Etat islamique international (…). L'adversité est de nature à éveiller notre nation, et à l'inciter au jihad, à l'union et au combat contre ces régimes traitres qui nous oppriment.» Il n’a jamais varié sur ces positions, et en 2001, dans son livre Au nom dʼOussama Ben Laden, Roland Jacquard le comptait parmi les six principaux inspirateurs de la mouvance islamiste la plus radicale dans le monde. Enfin on ajoutera que lors des dernières élections libres au Soudan, en 1986, les islamistes qui prirent le pouvoir trois ans plus tard avaient recueilli 7 % des voix. El-Nahda est désormais légalisé comme tous les partis qui avaient été interdits, et Rachid Ghannouchi va revenir de son exil londonien dès que la loi d’amnistie sera promulguée (il fut de nouveau condamné, à la détention à perpétuité, en 1992). Certes, le pire n’est jamais sûr. Mais la vraie question qui paraît se poser est de savoir maintenant quel pays, de l’Egypte ou de la Tunisie, aura le premier un gouvernement islamiste. Sans oublier que l’on a appris à la faveur de ces événements qu’il y a au moins 600000 Tunisiens vivant en France…"
"La Tunisie était, comme la plupart des pays arabo-musulmans, dirigée par un clan qui s’en mettait plein les poches. La spécificité de celui de Ben Ali est qu’il avait modernisé son pays de façon spectaculaire et qu’il avait vigoureusement contenu l’islamisme (le seul autre exemple est celui de Saddam Hussein, en plus… rude). Malgré la politique « laïque » de Ben Ali, la montée de l’islamisme était visible ces derniers temps en Tunisie. Mais on fait semblant de ne rien voir. Pire, la désinformation bat son plein. Le Figaro, par exemple, affirme que le mouvement El-Nahda (renaissance islamique) de Rachid Ghannouchi (ne pas confondre avec le Premier ministre qui a le même nom) est un parti modéré, qui n’a jamais basculé dans la violence, dont le chef «estime l'Islam compatible avec un régime démocratique multipartite et prône le dialogue avec l'Occident». Et de toute façon l’islamisme n’était qu’un épouvantail brandi par l’ancien dictateur pour conforter son pouvoir… Preuve en est que El-Nahda n’avait obtenu que 14 % des voix aux législatives de 1989, avant d’être interdit.
La vérité est que El-Nahda fut directement impliqué dans un certain nombre de violences graves. Ghannouchi fut condamné à mort sous Bourguiba puis gracié par Ben Ali. En 1989 il partit en exil avec un passeport… soudanais. L’année suivante il participait au congrès islamique de Téhéran et disait : «Les premières lueurs de l'islam apparaissent, ainsi que les promesses d'un islam victorieux, avec un Etat islamique international (…). L'adversité est de nature à éveiller notre nation, et à l'inciter au jihad, à l'union et au combat contre ces régimes traitres qui nous oppriment.» Il n’a jamais varié sur ces positions, et en 2001, dans son livre Au nom dʼOussama Ben Laden, Roland Jacquard le comptait parmi les six principaux inspirateurs de la mouvance islamiste la plus radicale dans le monde. Enfin on ajoutera que lors des dernières élections libres au Soudan, en 1986, les islamistes qui prirent le pouvoir trois ans plus tard avaient recueilli 7 % des voix. El-Nahda est désormais légalisé comme tous les partis qui avaient été interdits, et Rachid Ghannouchi va revenir de son exil londonien dès que la loi d’amnistie sera promulguée (il fut de nouveau condamné, à la détention à perpétuité, en 1992). Certes, le pire n’est jamais sûr. Mais la vraie question qui paraît se poser est de savoir maintenant quel pays, de l’Egypte ou de la Tunisie, aura le premier un gouvernement islamiste. Sans oublier que l’on a appris à la faveur de ces événements qu’il y a au moins 600000 Tunisiens vivant en France…"